Imaginez : vous vous réveillez en pleine nuit, complètement paralysé et sujet à des hallucinations. C’est ce qui arrive de temps en temps à Jules depuis une quinzaine d’années.
« La première fois, je devais avoir 8 ans. C’est tout le temps la même chose. Je me réveille, mais je ne peux pas bouger. Je peux seulement entendre ce qui se passe autour de moi et ouvrir les yeux. Là, je vois une présence qui m’observe, puis qui m’étrangle. »
Pourtant, Jules n’est atteint d’aucune pathologie.
Le professeur Yves Dauvilliers, professeur de neurologie et physiologie au centre national de référence narcolepsie et hypersomnie (CNRNH), détaille ce phénomène appelé paralysie du sommeil :
« On est complètement éveillé, avec une atonie musculaire. Lorsque l’on rêve, on est toujours en atonie musculaire, pour éviter que l’on bouge en phase de sommeil paradoxal. La paralysie du sommeil, c’est un état entre la veille et le sommeil paradoxal. »
La suite...
« La première fois, je devais avoir 8 ans. C’est tout le temps la même chose. Je me réveille, mais je ne peux pas bouger. Je peux seulement entendre ce qui se passe autour de moi et ouvrir les yeux. Là, je vois une présence qui m’observe, puis qui m’étrangle. »
Pourtant, Jules n’est atteint d’aucune pathologie.
Le professeur Yves Dauvilliers, professeur de neurologie et physiologie au centre national de référence narcolepsie et hypersomnie (CNRNH), détaille ce phénomène appelé paralysie du sommeil :
« On est complètement éveillé, avec une atonie musculaire. Lorsque l’on rêve, on est toujours en atonie musculaire, pour éviter que l’on bouge en phase de sommeil paradoxal. La paralysie du sommeil, c’est un état entre la veille et le sommeil paradoxal. »
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