Pour relancer le débat, j'ai trouvé en parcourant le net plusieurs témoignages ayant de fortes concordances avec le mien.
Je vous fait un copié collé pris au hasard, j'en ai d'autres sous la main de différentes dates.
18 NOVEMBRE 1969 : ACCÉLÉRATION FOUDROYANTE DÉCLARE UN CONSEILLER GÉNÉRAL
Enquête
Procès-verbal d'enquête préliminaire, le 28 novembre 1969, brigade de Songeons, département de l'Oise.
Le 18 novembre 1969 à 1 h 45, nous, gendarme L..., avons reçu au bureau de notre brigade, M. T..., docteur vétérinaire, conseiller général de maire de la commune de ... Cet homme portait à notre connaissance qu'il venait d'être témoin d'une apparition bizarre dans le ciel au-dessus du territoire de la commune de Wambez dans l'Oise. Il précisait qu'il avait vu monter dans le ciel une sorte d'engin circulaire de couleur orange. Cet engin qui lui semblait téléguidé, avait décrit un ou deux cercles dans le ciel avant de repartir à une vitesse très impressionnante en direction de Gournay-en-Bray (Seine-Maritime). Immédiatement nous avons informé notre commandant de brigade de ces faits. M. T... semblait très calme et maître de lui. Par ailleurs, dans le courant de la journée du 18 novembre 1969, il nous a confirmé ses dires par déclaration écrite, précisant qu'il se refusait à toute déclaration à la presse. Le même jour à 10 heures, par voie téléphonique, le commandant debrigade a rendu compte des faits à notre commandant de compagnie Beauvais.
Procédant à l'enquête, nous gendarmes P... et F... nous sommes rendus sur les lieux à 11 heures.
Etat des lieux
D'après les dires de M. T..., l'objet volant avait décollé de l'herbage situé à l'angle ouest du carrefour de la route nationale 30 et départementale 95, cet herbage, d'une grande superficie, appartient à M. M..., maire de... Il est bordé au nord par le chemin vicinal reliant la Nationale 30 à la commune de Buicourt, à l'ouest par des haies ainsi qu'au sud et à l'est par la Nationale 30 Rouen-La-Capelle, au point kilométrique 5 de cet axe. L'engin serait reparti direction sud-ouest vers Gournay-en-Bray.
Sur les lieux, nous n'avons remarqué aucune trace ou herbe brûlée laissant présumer de l'atterrissage d'un objet quelconque. Il est à noter que quelques pommiers sont disséminés à l'intérieur de l'herbage, assez espacés cependant pour permettre l'atterrissage d'un hélicoptère ou autre engin volant.
Enquête
Nous nous sommes rendus ensuite dans les communes proches, c'est-à-dire Gerberoy, Wambez, Hanvoile, La Chapelle-sous-Gerberoy et Hannaches. Aucune autre personne n'a vu cet engin volant au cours de la nuit du 17 au 18 novembre. Il a été porté à notre connaissance qu'un habitant de La Chapelle-sous-Gerberoy avait vu, lui aussi, une lueur suspecte dans le ciel au cours de ladite nuit. Le 27 novembre 1969 à 10 heures, nous noussommes rendus au domicile de M. W..., forgeron, qui nous a déclaré avoir aperçu une lueur vers 0 h 30, mais toutefois le fait ne lui avait pas semblé anormal. A ce jour, date de clôture du procès-verbal, aucun autre témoignage n'a été porté à notre connaissance. Mentionnons que M. T..., conseiller général de... depuis plus de quinze ans est parfaitement connu tant des habitants que de nos services. Ses dires ne peuvent être mis en doute. 11 est à noter que le fait signalé s'est produit à environ 800 mètres à vol d'oiseau du lieu où M. L... Amédé, habitant de Wambez, avait aperçu lui aussi un engin suspect le matin du 10 octobre 1969, relaté par procès-verbal n° 748 du 17 octobre 1969.
Procès-verbal d'audition, déclarant M. T..., cinquante-deux ans, docteur vétérinaire, conseiller général de...
Je soussigné T..., estime avoir vu ce jour, mardi 18 no-vembre 1969 à 1 h 05 un engin téléguidé. Je circulais sur la route nationale La Chapelle-Rouen, j'allais faire une visite chez M. D... Au carrefour de Gerberoy-Wambez-La-Chapelle-Montevaux, j'ai vu monter dans l'atmosphère, un engin de 3 mètres de diamètre, de couleur orange. ïl a décrit une orbite à 100 ou 200 mètres de hauteur. Je me suis arrêté. L'engin a décrit une seconde orbite à 5 ou 600 mètres de hauteur, puis est reparti en direction de Gournay-en-Bray à une vitesse impressionnante. Je refuse toute déclaration aux journalistes.
18 novembre 1969, 19 heures, lecture faite, persiste et signe.
Procès-verbal d'audition de M. VV... Marcel, quarante-sept ans, charron-forgeron, demeurant dans l'Oise qui déclare :
Au cours de la nuit du 16 au 17 novembre, vers 0 h 30, je crois, par l'intermédiaire de M. C..., M. T... m'a fait prévenir que son véhicule était tombé en panne sur la route nationale 30 à la sortie de la commune. Il me demandait de prévenir un garagiste de Songeons. Avant de prévenir le garagiste, je suis allé sur les lieux. Je ne me souviens plus si c'est à ce moment-là, ou en revenant avec le garagiste que j'ai aperçu une lueur rouge au-dessus de la route nationale en direction de Wambez. Sur le moment je n'ai fait part à personne de ce que je voyais, pensant qu'il s'agissait d'un véhicule en circulation sur la Nationale 30 venant dans notre direction. Toutefois, aucun véhicule n'est passé. Pendant ce temps M. T... avait pris un autre véhicule pour se rendre à la ferme Derick où il était appelé. Le lendemain, M. T... m'a fait part de ce qu'il avait vu dans l'herbage de M. M... et au-dessus. C'est alors que je lui ai dit ce que j'avais vu moi-même, c'est-à-dire cette lueur.
Personnellement je n'ai vu aucun engin volant. 27 novembre 1969, lecture faite, persiste et signe.
Remarque. — On peut noter qu'en 1969, le phénomène OVNI conserve encore une auréole de ridicule qui inquiète — à juste titre — ce docteur, conseiller général, puisqu'il fuit les journalistes. Cependant, fortement marqué par ce qu'il a vu, il confie son témoignage aux gendarmes. Voilà, j'imagine, un conseiller général qui n'a sans doute plus besoin d'être convaincu de la réalité des OVNI.
Je vous fait un copié collé pris au hasard, j'en ai d'autres sous la main de différentes dates.
18 NOVEMBRE 1969 : ACCÉLÉRATION FOUDROYANTE DÉCLARE UN CONSEILLER GÉNÉRAL
Enquête
Procès-verbal d'enquête préliminaire, le 28 novembre 1969, brigade de Songeons, département de l'Oise.
Le 18 novembre 1969 à 1 h 45, nous, gendarme L..., avons reçu au bureau de notre brigade, M. T..., docteur vétérinaire, conseiller général de maire de la commune de ... Cet homme portait à notre connaissance qu'il venait d'être témoin d'une apparition bizarre dans le ciel au-dessus du territoire de la commune de Wambez dans l'Oise. Il précisait qu'il avait vu monter dans le ciel une sorte d'engin circulaire de couleur orange. Cet engin qui lui semblait téléguidé, avait décrit un ou deux cercles dans le ciel avant de repartir à une vitesse très impressionnante en direction de Gournay-en-Bray (Seine-Maritime). Immédiatement nous avons informé notre commandant de brigade de ces faits. M. T... semblait très calme et maître de lui. Par ailleurs, dans le courant de la journée du 18 novembre 1969, il nous a confirmé ses dires par déclaration écrite, précisant qu'il se refusait à toute déclaration à la presse. Le même jour à 10 heures, par voie téléphonique, le commandant debrigade a rendu compte des faits à notre commandant de compagnie Beauvais.
Procédant à l'enquête, nous gendarmes P... et F... nous sommes rendus sur les lieux à 11 heures.
Etat des lieux
D'après les dires de M. T..., l'objet volant avait décollé de l'herbage situé à l'angle ouest du carrefour de la route nationale 30 et départementale 95, cet herbage, d'une grande superficie, appartient à M. M..., maire de... Il est bordé au nord par le chemin vicinal reliant la Nationale 30 à la commune de Buicourt, à l'ouest par des haies ainsi qu'au sud et à l'est par la Nationale 30 Rouen-La-Capelle, au point kilométrique 5 de cet axe. L'engin serait reparti direction sud-ouest vers Gournay-en-Bray.
Sur les lieux, nous n'avons remarqué aucune trace ou herbe brûlée laissant présumer de l'atterrissage d'un objet quelconque. Il est à noter que quelques pommiers sont disséminés à l'intérieur de l'herbage, assez espacés cependant pour permettre l'atterrissage d'un hélicoptère ou autre engin volant.
Enquête
Nous nous sommes rendus ensuite dans les communes proches, c'est-à-dire Gerberoy, Wambez, Hanvoile, La Chapelle-sous-Gerberoy et Hannaches. Aucune autre personne n'a vu cet engin volant au cours de la nuit du 17 au 18 novembre. Il a été porté à notre connaissance qu'un habitant de La Chapelle-sous-Gerberoy avait vu, lui aussi, une lueur suspecte dans le ciel au cours de ladite nuit. Le 27 novembre 1969 à 10 heures, nous noussommes rendus au domicile de M. W..., forgeron, qui nous a déclaré avoir aperçu une lueur vers 0 h 30, mais toutefois le fait ne lui avait pas semblé anormal. A ce jour, date de clôture du procès-verbal, aucun autre témoignage n'a été porté à notre connaissance. Mentionnons que M. T..., conseiller général de... depuis plus de quinze ans est parfaitement connu tant des habitants que de nos services. Ses dires ne peuvent être mis en doute. 11 est à noter que le fait signalé s'est produit à environ 800 mètres à vol d'oiseau du lieu où M. L... Amédé, habitant de Wambez, avait aperçu lui aussi un engin suspect le matin du 10 octobre 1969, relaté par procès-verbal n° 748 du 17 octobre 1969.
Procès-verbal d'audition, déclarant M. T..., cinquante-deux ans, docteur vétérinaire, conseiller général de...
Je soussigné T..., estime avoir vu ce jour, mardi 18 no-vembre 1969 à 1 h 05 un engin téléguidé. Je circulais sur la route nationale La Chapelle-Rouen, j'allais faire une visite chez M. D... Au carrefour de Gerberoy-Wambez-La-Chapelle-Montevaux, j'ai vu monter dans l'atmosphère, un engin de 3 mètres de diamètre, de couleur orange. ïl a décrit une orbite à 100 ou 200 mètres de hauteur. Je me suis arrêté. L'engin a décrit une seconde orbite à 5 ou 600 mètres de hauteur, puis est reparti en direction de Gournay-en-Bray à une vitesse impressionnante. Je refuse toute déclaration aux journalistes.
18 novembre 1969, 19 heures, lecture faite, persiste et signe.
Procès-verbal d'audition de M. VV... Marcel, quarante-sept ans, charron-forgeron, demeurant dans l'Oise qui déclare :
Au cours de la nuit du 16 au 17 novembre, vers 0 h 30, je crois, par l'intermédiaire de M. C..., M. T... m'a fait prévenir que son véhicule était tombé en panne sur la route nationale 30 à la sortie de la commune. Il me demandait de prévenir un garagiste de Songeons. Avant de prévenir le garagiste, je suis allé sur les lieux. Je ne me souviens plus si c'est à ce moment-là, ou en revenant avec le garagiste que j'ai aperçu une lueur rouge au-dessus de la route nationale en direction de Wambez. Sur le moment je n'ai fait part à personne de ce que je voyais, pensant qu'il s'agissait d'un véhicule en circulation sur la Nationale 30 venant dans notre direction. Toutefois, aucun véhicule n'est passé. Pendant ce temps M. T... avait pris un autre véhicule pour se rendre à la ferme Derick où il était appelé. Le lendemain, M. T... m'a fait part de ce qu'il avait vu dans l'herbage de M. M... et au-dessus. C'est alors que je lui ai dit ce que j'avais vu moi-même, c'est-à-dire cette lueur.
Personnellement je n'ai vu aucun engin volant. 27 novembre 1969, lecture faite, persiste et signe.
Remarque. — On peut noter qu'en 1969, le phénomène OVNI conserve encore une auréole de ridicule qui inquiète — à juste titre — ce docteur, conseiller général, puisqu'il fuit les journalistes. Cependant, fortement marqué par ce qu'il a vu, il confie son témoignage aux gendarmes. Voilà, j'imagine, un conseiller général qui n'a sans doute plus besoin d'être convaincu de la réalité des OVNI.