Patrice a écrit:Ou en clair, j'exagère, j'interprète un tantinet....
Non je ne dis pas ça... j'aimerais beaucoup retrouver cette citation, mais je ne sais pas ou elle est.
Mais libre à toi de considéré qu'elle n'a pas été formuler. Je ne t'en tiendrais pas rigueur et ce n'est pas très important.
J'ai déjà du mal à faire admettre qu'il y ait pu avoir des traces de pneus dans un pré alors que c'est noté noir sur blanc par des journalistes qui étaient sur place !
Patrice a écrit:
Rien de neuf alors sur ce "cas" ?
A part cette interview... rien de spécial.
Petite traduction à la rache :
6'15" : Nous étions très curieuse, nous voulions savoir ce que c’était. N'importe quel être humain essai de rationaliser ce qu'il voit, de comprendre à quoi il a à faire, et à 11 ans nous ne comprenions pas à quoi nous avions à faire. Mettre des mots dessus... Cela avait une forme "humaine" (humanesque form) mais beaucoup plus petit... une très grosse tête, de très gros yeux... si cela avait un nez, on ne pouvait pas vraiment le voir... la peau, la pigmentation était très différente, cela ne ressemblait à rien de ce que j'avais déjà vu.
7'27" : en fait j'ai déverrouillé mon regard de cette chose, car je voulais aller voir mes frères et sœurs qui étaient beaucoup plus jeunes et qui jouaient dans une autre partie de la cour, parceque je me suis dit : si j'ai peur, eux doivent être terrifiés. Beaucoup d'autres choses se sont passées pendant cette "rencontre rapprochée" (interlocking moment)... Puis quand j'ai laissé tomber, j'ai pris la main de mon ami et je me suis déconnecté de son regard, ce qui n'a pas été une chose facile... du tout... j'ai eu l'impression que de faire cela m'a pris toute mon énergie, je me suis sentie épuisé après coup... mais après cela je ne l'ai plus revu.
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