Oli974
Bonjour à tous! ca faisait longtemps que j'avais laissé tombé les ziti mais un journal local a rapporté ça ce matin ______çççççç______ :
http://www.clicanoo.com/index.php?id_article=187410&page=article
Un OVNI au-dessus du viaduc
CLICANOO.COM | Publié le 2 août 2008
Le 10 juillet, deux ouvriers travaillant sur le viaduc de la route des Tamarins situé à Saint-Paul, ont observé un objet volant non identifié pendant près de quinze minutes. La scène a été filmée et l’un des deux hommes a été entendu par les gendarmes. Les militaires n’ont trouvé, pour l’heure, aucune explication au phénomène.
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« J’ai jamais vraiment cru à ce genre de truc. Mais maintenant, je me dis que ça peut exister. » Alix Joseph n’en revient toujours pas. Le jeudi 10 juillet, vers 18 h 15, cet ouvrier coffreur de 38 ans travaille sur le viaduc de Saint-Paul lorsque son collègue Simon Dugain l’interpelle.
On a vu un hélicoptère venir à son niveau en stationnaire.
« On était au pied du viaduc, en train de couper de la ferraille entre la sixième et la septième pile. Mon collègue m’a dit de regarder. J’ai vu quelque chose qui descendait doucement. C’était une forme un peu ovale, ou plutôt comme un losange. C’était très brillant, comme si c’était métallique. Il allait de Plateau-Caillou vers la mer. Il n’y avait aucun bruit. On aurait dit qu’il prenait tout son temps. Puis on a vu un hélicoptère venir à son niveau en stationnaire. Mais l’hélicoptère ne semble pas l’avoir vu et est reparti. En dessous de l’objet, il y avait deux lumières, rouges et vertes qui clignotaient. Il devait faire entre 60 et 80 cm de large et devait être à une bonne centaine de mètres au-dessus du viaduc. J’ai pris mon téléphone portable. J’ai fait une photo et j’ai filmé la scène. Puis il est reparti vers la mer et avec la tombée de la nuit, nous l’avons perdu de vue. » Lorsqu’ils en parlent à leurs collègues, ces derniers se mettent à rire. Le petit film tourné à partir du téléphone ne les convainc guère. On y voit une bille très brillante dans le ciel, qui se déplace lentement vers la mer. Le beau-frère d’Alix, Laurent, s’intéresse de près au phénomène et prend contact avec l’association des « Repas ufologiques » (association sans but lucratif qui contribue a la diffusion d’informations spécialisées sur le problème des ovni et qui favorise le développement de projets relatifs à l’étude du phénomène) et avec le GEIPAN (Groupe d’études et d’informations sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés) rattaché au centre national d’études spatiales de Toulouse. Le centre a l’habitude de recevoir des témoignages de ce type et lance une enquête pour vérifier le phénomène. C’est ainsi qu’Alix est invité à se présenter à la gendarmerie de Saint-Paul pour audition. Les militaires prennent la chose au sérieux. Le 18 juillet, Alix fait une déposition dans laquelle il répond précisément à toutes les questions qui lui sont posées. Une enquête débute. Il s’agit surtout d’expliquer le phénomène de manière rationnelle. En quelques jours l’enquête est bouclée et les conclusions envoyées au GEIPAN. « Nous avons fait le tour des sociétés d’hélicoptère pour essayer de voir s’il s’agissait de l’une d’elles, explique le capitaine Michel, commandant de la compagnie de Saint-Paul, Mais nous n’avons rien trouvé. Notre hélicoptère est passé à ce même endroit au même moment et nous n’avons rien vu. Nous avons donc clos l’enquête sans que l’on puisse conclure sur la réalité du phénomène ni sur son explication. » De son côté, l’association des Repas ufologiques a envoyé à Alix un questionnaire précis qui devrait permettre de mieux cerner le phénomène. Reste que pour l’heure, il est toujours inexpliqué
Frédérique Seigle
1968-2008 : 40 ans d’OVNI péi
1968 : Les « babas Michelin » de la Plaine des Cafres Le 31 juillet 1968, à La Plaine-des-Cafres, Luce Fontaine un ouvrier agricole, alors âgé de 31 ans, se retrouve nez à nez avec une soucoupe volante et ses occupants. Il explique aux gendarmes chargés de l’enquête : « J’ai aperçu pendant une quinzaine de secondes un objet de forme ovoïde stationné à quatre ou cinq mètres du sol. L’objet émettait une lumière crue comme celle d’un arc électrique. Un peu gêné par la forte lumière, j’ai pu quand même distinguer, derrière un écran bleu, deux personnages qui m’ont paru mesurer environ 90 centimètres. … Ils ressemblaient à deux « Babas Michelin » dont l’un me tournait le dos alors que l’autre me faisait face. Lorsque ces deux espèces de cosmonautes m’ont vu, il y a eu un éclair blanc et l’appareil s’est envolé. »
1977 : L’OVNI de l’aéroport Le 19 février 1977, Daniel Ubertini, qui fut photographe de presse au Journal de l’île, s’aperçoit en développant les clichés qu’il vient de faire à l’aéroport de Gillot qu’un drôle d’objet apparaît sur la série de clichés qu’il a pris d’un Boeing 747 en phase de décollage. On cherche à vérifier qu’il ne s’agit pas d’un défaut de la pellicule mais toutes les expertises sont formelles : la pellicule est tout à fait normale. La Réunion est perplexe et personne n’arrivera à se prononcer sur la nature de l’objet.
1986 : Les boules roses de la Bretagne En 1986, un habitant de la Bretagne, Jean-Jacques Ferrère, affirme avoir été frôlé par une boule rose alors qu’il travaillait dans son jardin. L’enquête a conclu à un incident peu banal certes mais qui peut arriver, une sorte de transfert d’énergie entre la ligne haute tension qui passe au-dessus de la maison de l’observateur et le sol. Mais un mois plus tard, le 14 juillet de la même année, c’est le frère de Jean-Jacques qui observe le passage d’une boule lumineuse dans le ciel, selon une direction est-ouest. Cinq personnes auraient vu la chose pendant une vingtaine de secondes puis par deux autres personnes de la Montagne juste après eux…
1999 : L’engin accompagne l’avion En 1999, Eric Grigon, instructeur, Philippe Cadet et Eric Lescaret reviennent de Tamatave à bord d’un Cessna 172, lorsqu’ils aperçoivent un point lumineux. Quand les trois hommes constatent que le point bouge, ils commencent à « gamberger sérieusement », racontent-ils. Ils envisagent alors la présence d’un autre avion à leur côté. Mais la tour de contrôle de Roland-Garros est formelle : il n’y a aucun autre aéroplane censé se trouver à cet endroit. Pressés d’en savoir plus, les trois hommes stabilisent l’appareil et entament une série d’observations qui ne les rassurent pas : l’objet volant reste parfois immobile avant de reprendre sa route. Les trois pilotes sont alors persuadés d’être en présence d’un Ovni. A priori, aucune explication rationnelle n’est en mesure d’expliquer ce que les trois hommes ont vu ce jour-là. Selon eux, il ne pouvait pas s’agir d’un avion de ligne et même un avion de chasse aurait eu du mal à voler comme ça.
2005 : Une drôle de photo à Saint-Joseph
En août 2005, David, un Saint-Joséphois de 25 ans passionné de photographie, réalise un curieux cliché. Sur l’image qui s’affiche sur son ordinateur, un objet étrange qui a tout de la caractéristique d’une soucoupe volante apparaît. Les gendarmes ont enquêté sur le phénomène mais n’ont jamais pu l’expliquer.
Bonjour à tous! ca faisait longtemps que j'avais laissé tombé les ziti mais un journal local a rapporté ça ce matin ______çççççç______ :
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Un OVNI au-dessus du viaduc
CLICANOO.COM | Publié le 2 août 2008
Le 10 juillet, deux ouvriers travaillant sur le viaduc de la route des Tamarins situé à Saint-Paul, ont observé un objet volant non identifié pendant près de quinze minutes. La scène a été filmée et l’un des deux hommes a été entendu par les gendarmes. Les militaires n’ont trouvé, pour l’heure, aucune explication au phénomène.
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« J’ai jamais vraiment cru à ce genre de truc. Mais maintenant, je me dis que ça peut exister. » Alix Joseph n’en revient toujours pas. Le jeudi 10 juillet, vers 18 h 15, cet ouvrier coffreur de 38 ans travaille sur le viaduc de Saint-Paul lorsque son collègue Simon Dugain l’interpelle.
On a vu un hélicoptère venir à son niveau en stationnaire.
« On était au pied du viaduc, en train de couper de la ferraille entre la sixième et la septième pile. Mon collègue m’a dit de regarder. J’ai vu quelque chose qui descendait doucement. C’était une forme un peu ovale, ou plutôt comme un losange. C’était très brillant, comme si c’était métallique. Il allait de Plateau-Caillou vers la mer. Il n’y avait aucun bruit. On aurait dit qu’il prenait tout son temps. Puis on a vu un hélicoptère venir à son niveau en stationnaire. Mais l’hélicoptère ne semble pas l’avoir vu et est reparti. En dessous de l’objet, il y avait deux lumières, rouges et vertes qui clignotaient. Il devait faire entre 60 et 80 cm de large et devait être à une bonne centaine de mètres au-dessus du viaduc. J’ai pris mon téléphone portable. J’ai fait une photo et j’ai filmé la scène. Puis il est reparti vers la mer et avec la tombée de la nuit, nous l’avons perdu de vue. » Lorsqu’ils en parlent à leurs collègues, ces derniers se mettent à rire. Le petit film tourné à partir du téléphone ne les convainc guère. On y voit une bille très brillante dans le ciel, qui se déplace lentement vers la mer. Le beau-frère d’Alix, Laurent, s’intéresse de près au phénomène et prend contact avec l’association des « Repas ufologiques » (association sans but lucratif qui contribue a la diffusion d’informations spécialisées sur le problème des ovni et qui favorise le développement de projets relatifs à l’étude du phénomène) et avec le GEIPAN (Groupe d’études et d’informations sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés) rattaché au centre national d’études spatiales de Toulouse. Le centre a l’habitude de recevoir des témoignages de ce type et lance une enquête pour vérifier le phénomène. C’est ainsi qu’Alix est invité à se présenter à la gendarmerie de Saint-Paul pour audition. Les militaires prennent la chose au sérieux. Le 18 juillet, Alix fait une déposition dans laquelle il répond précisément à toutes les questions qui lui sont posées. Une enquête débute. Il s’agit surtout d’expliquer le phénomène de manière rationnelle. En quelques jours l’enquête est bouclée et les conclusions envoyées au GEIPAN. « Nous avons fait le tour des sociétés d’hélicoptère pour essayer de voir s’il s’agissait de l’une d’elles, explique le capitaine Michel, commandant de la compagnie de Saint-Paul, Mais nous n’avons rien trouvé. Notre hélicoptère est passé à ce même endroit au même moment et nous n’avons rien vu. Nous avons donc clos l’enquête sans que l’on puisse conclure sur la réalité du phénomène ni sur son explication. » De son côté, l’association des Repas ufologiques a envoyé à Alix un questionnaire précis qui devrait permettre de mieux cerner le phénomène. Reste que pour l’heure, il est toujours inexpliqué
Frédérique Seigle
1968-2008 : 40 ans d’OVNI péi
1968 : Les « babas Michelin » de la Plaine des Cafres Le 31 juillet 1968, à La Plaine-des-Cafres, Luce Fontaine un ouvrier agricole, alors âgé de 31 ans, se retrouve nez à nez avec une soucoupe volante et ses occupants. Il explique aux gendarmes chargés de l’enquête : « J’ai aperçu pendant une quinzaine de secondes un objet de forme ovoïde stationné à quatre ou cinq mètres du sol. L’objet émettait une lumière crue comme celle d’un arc électrique. Un peu gêné par la forte lumière, j’ai pu quand même distinguer, derrière un écran bleu, deux personnages qui m’ont paru mesurer environ 90 centimètres. … Ils ressemblaient à deux « Babas Michelin » dont l’un me tournait le dos alors que l’autre me faisait face. Lorsque ces deux espèces de cosmonautes m’ont vu, il y a eu un éclair blanc et l’appareil s’est envolé. »
1977 : L’OVNI de l’aéroport Le 19 février 1977, Daniel Ubertini, qui fut photographe de presse au Journal de l’île, s’aperçoit en développant les clichés qu’il vient de faire à l’aéroport de Gillot qu’un drôle d’objet apparaît sur la série de clichés qu’il a pris d’un Boeing 747 en phase de décollage. On cherche à vérifier qu’il ne s’agit pas d’un défaut de la pellicule mais toutes les expertises sont formelles : la pellicule est tout à fait normale. La Réunion est perplexe et personne n’arrivera à se prononcer sur la nature de l’objet.
1986 : Les boules roses de la Bretagne En 1986, un habitant de la Bretagne, Jean-Jacques Ferrère, affirme avoir été frôlé par une boule rose alors qu’il travaillait dans son jardin. L’enquête a conclu à un incident peu banal certes mais qui peut arriver, une sorte de transfert d’énergie entre la ligne haute tension qui passe au-dessus de la maison de l’observateur et le sol. Mais un mois plus tard, le 14 juillet de la même année, c’est le frère de Jean-Jacques qui observe le passage d’une boule lumineuse dans le ciel, selon une direction est-ouest. Cinq personnes auraient vu la chose pendant une vingtaine de secondes puis par deux autres personnes de la Montagne juste après eux…
1999 : L’engin accompagne l’avion En 1999, Eric Grigon, instructeur, Philippe Cadet et Eric Lescaret reviennent de Tamatave à bord d’un Cessna 172, lorsqu’ils aperçoivent un point lumineux. Quand les trois hommes constatent que le point bouge, ils commencent à « gamberger sérieusement », racontent-ils. Ils envisagent alors la présence d’un autre avion à leur côté. Mais la tour de contrôle de Roland-Garros est formelle : il n’y a aucun autre aéroplane censé se trouver à cet endroit. Pressés d’en savoir plus, les trois hommes stabilisent l’appareil et entament une série d’observations qui ne les rassurent pas : l’objet volant reste parfois immobile avant de reprendre sa route. Les trois pilotes sont alors persuadés d’être en présence d’un Ovni. A priori, aucune explication rationnelle n’est en mesure d’expliquer ce que les trois hommes ont vu ce jour-là. Selon eux, il ne pouvait pas s’agir d’un avion de ligne et même un avion de chasse aurait eu du mal à voler comme ça.
2005 : Une drôle de photo à Saint-Joseph
En août 2005, David, un Saint-Joséphois de 25 ans passionné de photographie, réalise un curieux cliché. Sur l’image qui s’affiche sur son ordinateur, un objet étrange qui a tout de la caractéristique d’une soucoupe volante apparaît. Les gendarmes ont enquêté sur le phénomène mais n’ont jamais pu l’expliquer.