Procès verbal d'audition à la gendarmerie: (petit résumé pour ceux ou celles ne connaissant pas ce célèbre cas)
Le jeudi 21 octobre 1982 à 12:35, dans la banlieue de Nancy (Meurthe-et-Moselle), M. Henri, un chercheur biologiste de 30 ans, assiste à l'atterrissage d'un appareil inconnu dans son jardin large d'à peine 3 m :
Forme ovoïde, diamètre environ un mètre cinquante, épaisseur zéro mètre quatre-vingt, la moitié inférieure avait un aspect métallisé genre béryllium poli la moitié supérieure était de couleur bleu-vert lagon dans son remplissage interne.
Cet engin n'émettait aucun son, ne dégageait ni chaleur, ni froid, ni rayonnement, ni magnétisme, ni électromagnétisme. Je vous remets un croquis sommaire de l'engin et je pense avoir approché au maximum la réalité quant aux dimensions et aux formes. J'ajoute que la masse volumétrique me paraissait très lourde.
De plus, la forme de cet engin épousait étroitement la surface de mon jardinet. Pendant les vingt minutes d'observation, je suis allé au premier étage de ma maison, j'ai pris mon appareil photo chargé et je suis redescendu dans le jardinet.L'engin n'a pas bougé de sa place. J'ai essayé de déclencher, mais mon appareil s'est bloqué car je précise qu'il a déjà présenté plusieurs fois des défectuosités. Comme je l'ai déjà précisé plus haut, l'observation a duré vingt minutes au bout desquelles l'engin s'est brusquement élevé à la verticale constante, trajectoire qui a été maintenue jusqu'à perte de vue. Le départ de l'engin, et non pas le décollage, car il ne s'est jamais posé, a été très rapide, comme sous l'effet d'une forte aspiration. Je précise que sur le terrain, aucune marque ne fut déposée, ni dans l'infrastructure externe. L'herbe n'est ni calcinée, ni écrasée, j'ai simplement remarqué qu'au départ de l'engin, l'herbe s'est dressée droit pour revenir rapidement à sa position normale.
Au moment de cette observation j'étais seul dans mon jardin et dans ma maison. Je n'ai pas vu de voisin immédiat. J'ajoute que ma maison est en contrebas de la route et que l'engin n'a pas pu être vu lorsqu'il était dans le jardinet. Je ne vous ai pas prévenu de suite, car j'en ai d'abord parlé à mon épouse à 17 heures, et c'est là que nous sommes venus à votre bureau. C'est tout ce que je peux dire."
Une bordure d'amarantes en fleurs était située à moins de 1 m de l'endroit où s'est produit le phénomène. Les plants les plus proches (20 cm) subirent des effets physiques importants : assèchement des tiges et des feuilles (teneur en eau de 40 % contre 80 % pour les feleurs témoin situées plus loin), couleur passant du rouge vif au brun terne.
"la seule chose qui s'est passée quand l'objet est parti, c'est l'herbe qui s'est frisée sur la tête, mais vraiment droite, l'herbe qui était humide, de l'herbe d'automne...".
Si un champ électrique intense avait causé les effets observés sur les brins d'herbe et les amarantes il n'a pu exister qu'au moment du départ. Sinon, le témoin qui s'était approché à un moment à 50 cm de l'engin aurait été foudroyé. Il reste qu'un simple champ électrique n'expliquerait qu'imparfaitement la lévitation constatée.
(j'ai souligné la pertinence de l'auteur, qui me semblait assez intéressant à noter)
le cas détaillé et l'étude des échantillons des plantes peuvent être consultés sur ce lien (l’enquête du GEPAN)
http://www.ldi5.com/ovni/sepra/nt17.php
D’après les gendarmes le témoins est un biologiste, alors avons nous affaire à un affabulateur particulièrement doué ou bien "autre chose" chers sceptiques? ce cas me rend perplexe ...
Le jeudi 21 octobre 1982 à 12:35, dans la banlieue de Nancy (Meurthe-et-Moselle), M. Henri, un chercheur biologiste de 30 ans, assiste à l'atterrissage d'un appareil inconnu dans son jardin large d'à peine 3 m :
Forme ovoïde, diamètre environ un mètre cinquante, épaisseur zéro mètre quatre-vingt, la moitié inférieure avait un aspect métallisé genre béryllium poli la moitié supérieure était de couleur bleu-vert lagon dans son remplissage interne.
Cet engin n'émettait aucun son, ne dégageait ni chaleur, ni froid, ni rayonnement, ni magnétisme, ni électromagnétisme. Je vous remets un croquis sommaire de l'engin et je pense avoir approché au maximum la réalité quant aux dimensions et aux formes. J'ajoute que la masse volumétrique me paraissait très lourde.
De plus, la forme de cet engin épousait étroitement la surface de mon jardinet. Pendant les vingt minutes d'observation, je suis allé au premier étage de ma maison, j'ai pris mon appareil photo chargé et je suis redescendu dans le jardinet.L'engin n'a pas bougé de sa place. J'ai essayé de déclencher, mais mon appareil s'est bloqué car je précise qu'il a déjà présenté plusieurs fois des défectuosités. Comme je l'ai déjà précisé plus haut, l'observation a duré vingt minutes au bout desquelles l'engin s'est brusquement élevé à la verticale constante, trajectoire qui a été maintenue jusqu'à perte de vue. Le départ de l'engin, et non pas le décollage, car il ne s'est jamais posé, a été très rapide, comme sous l'effet d'une forte aspiration. Je précise que sur le terrain, aucune marque ne fut déposée, ni dans l'infrastructure externe. L'herbe n'est ni calcinée, ni écrasée, j'ai simplement remarqué qu'au départ de l'engin, l'herbe s'est dressée droit pour revenir rapidement à sa position normale.
Au moment de cette observation j'étais seul dans mon jardin et dans ma maison. Je n'ai pas vu de voisin immédiat. J'ajoute que ma maison est en contrebas de la route et que l'engin n'a pas pu être vu lorsqu'il était dans le jardinet. Je ne vous ai pas prévenu de suite, car j'en ai d'abord parlé à mon épouse à 17 heures, et c'est là que nous sommes venus à votre bureau. C'est tout ce que je peux dire."
Une bordure d'amarantes en fleurs était située à moins de 1 m de l'endroit où s'est produit le phénomène. Les plants les plus proches (20 cm) subirent des effets physiques importants : assèchement des tiges et des feuilles (teneur en eau de 40 % contre 80 % pour les feleurs témoin situées plus loin), couleur passant du rouge vif au brun terne.
"la seule chose qui s'est passée quand l'objet est parti, c'est l'herbe qui s'est frisée sur la tête, mais vraiment droite, l'herbe qui était humide, de l'herbe d'automne...".
Si un champ électrique intense avait causé les effets observés sur les brins d'herbe et les amarantes il n'a pu exister qu'au moment du départ. Sinon, le témoin qui s'était approché à un moment à 50 cm de l'engin aurait été foudroyé. Il reste qu'un simple champ électrique n'expliquerait qu'imparfaitement la lévitation constatée.
(j'ai souligné la pertinence de l'auteur, qui me semblait assez intéressant à noter)
le cas détaillé et l'étude des échantillons des plantes peuvent être consultés sur ce lien (l’enquête du GEPAN)
http://www.ldi5.com/ovni/sepra/nt17.php
D’après les gendarmes le témoins est un biologiste, alors avons nous affaire à un affabulateur particulièrement doué ou bien "autre chose" chers sceptiques? ce cas me rend perplexe ...