Depuis 2007 et la découverte de sa première météorite en Turquie, il collabore avec le département « objets extraterrestres » du muséum national d'histoire naturelle de Paris. « Ils ont déjà analysé deux morceaux de météorites pour moi. Un troisième est sur le point de l'être ».
Mesut scrute chaque jour depuis des années les articles des journaux turcs et saute dans un avion sitôt qu'il a repéré des témoignages crédibles sur une chute. « Les météorites étant métalliques, on utilise un détecteur de métaux ». Une fois analysées, elles sont répertoriées dans une revue spécialisée américaine, le Meteoritical bulletin, et peuvent être vendues aux musées ou aux collectionneurs.
« J'ai assisté à une chute de météorite à 6 ans. Il y a eu une grande lumière dans l'obscurité de la nuit. Je tremblais et tout le monde priait. Celle-là, je ne l'ai jamais retrouvée ». Mais rien n'arrêtera Mesut dans sa quête. « Quand on prend une météorite dans ses mains, l'impossible devient possible ».
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