Le weta géant, plus gros insecte du monde, mange des carottes

Des naturalistes néo-zélandais ont capturé le plus gros insecte du monde, un weta géant femelle de 71 grammes, plus de deux fois le poids d'un moineau ! C'est grâce au gigantisme insulaire que cet animal de Little Barrier Island a pu acquérir cette taille.



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http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/zoologie/d/en-bref-le-weta-geant-plus-gros-insecte-du-monde-mange-des-carottes_35241/#xtor=EPR-17-

J'aurais dis que le fait d'être insulaire entraîne le nanisme au contraire.
Je tremble à l'idée de voir les chats de cette île ... :(joker):

Tiens, tu t'es fait la même remarque que moi quant au gigantisme insulaire.

Heureusement, nous avons la solution en fin d'article :

Les wetas géants doivent leur taille à un phénomène biologique qu’on appelle le gigantisme insulaire. En l’absence de prédateur – ce qui est souvent le cas sur les petites îles – les herbivores (le weta se nourrit également de petits insectes) subissent moins de pression de sélection et ont tendance à grandir rapidement, en quelques générations.

Si ça se trouve il n'y a qu'un seul chat sur l'île, mais alors pitain le morceau ! :(MRDgreen):

Pour ma part je suis sceptique... Ne s'agit-il pas d'un montage ?

A ce sujet, je ne sais plus sur quelle île du Pacifique ça s'est passé (près de la Nouvelle-Zélande je crois), mais l'introduction d'un seul chat sur cette île de petite superficie a entraîné la disparition d'une espèce de passereau endémique !
Evidemment, les défenseurs de ces sales bêtes ne vous le diront pas, mais heureusement, les membres de Sceptic-Ovni sont là pour dévoiler le péril félin !
(d'ailleurs, à chaque fois qu'on dit "Sceptic-Ovni", un chat meurt dans le monde !)

Note : il y a aussi un intéressant essai de Stephen Jay Gould sur la mort d'une portion non négligeable de la population des kiwis (les oiseaux, pas les fruits) du Nord de la Nouvelle-Zélande, du fait d'un seul chien !

@ JJT : non non, le wéta existe bel et bien ! Il est même considéré comme un fossile vivant.

Tiens j'en parlais avec ma copine et voilà ce qu'elle me dit:

Je te dis meme pas... les chats en Nouvelle Zélande c'est ca :

Ce à quoi je réponds :

Ho pitain !

Et c'est pas un fake !

au lieu de géant j'ai lu "guéant" .... j'ai vraiment flippé !

Nuke 'em!!!

http://store.steampowered.com/video/23530/81318

Jean-Jacques Tabasco a écrit:Pour ma part je suis sceptique... Ne s'agit-il pas d'un montage ?

JJT ou le scepticisme à la tête du client... C'est parce que t'aimes pas les grillons et que sa gueule te revient pas, avoues. Spéciste, va. :(MRDgreen):

On trouve facilement de la documentation sur le web de sources plus fiables que The Sun.

Ex. un site gouvernemental de la Nouvelle Zélande :
http://www.doc.govt.nz/conservation/native-animals/invertebrates/weta/docs-work/
http://www.doc.govt.nz/getting-involved/for-teachers/meet-the-locals/the-big-friendly-giants-the-giant-weta/teaching-resource/

nablator a écrit:Nuke 'em!!!

http://store.steampowered.com/video/23530/81318

Klendathu ! Klendathu ! La cible est Klendathu !

NEMROD34 a écrit:J'aurais dis que le fait d'être insulaire entraîne le nanisme au contraire.

En fait, les deux phénomènes évolutifs coexistent pour les espèces qui se retrouvent piégées dans des espaces isolés :

- nanisme insulaire : généralement à cause d'une diminution des ressources en nourriture.

Il a existé par ex des éléphants nains dans des îles méditerranéennes... et même une espèce humaine naine dans une île indonésienne (l'Homo floresiensis).

- gigantisme insulaire : du fait le plus souvent de l'absence de certains prédateurs de l'espèce en question.

Il a ainsi existé des sortes de rats géants sur certaines îles.

En général, pour résumer, les petites espèces tendent à devenir plus grosses et les grandes plus petites.