Bonjour à tous,
On m’avait dit de créer un fil spécifique pour parler de ce cas et de l’intituler : Le cas hélico de Diges.
Vous comprendrez à la fin de mon enquête pourquoi j’ai décidé de changer le titre…
Diges, 24 septembre 1954, un cas assez banal comme il en existe des centaines, voire des milliers dans la littérature ufologique des années 50-60. Deux témoins aperçoivent quelques choses qu’elles n’identifient pas, il y a un individu mystérieux, des traces au sol et pas grand-chose de plus… Pour les journalistes c’est forcément une soucoupe, pour les ufologues un cas de RR3 avéré, et pour les sceptiques un énième cas de méprise avec un hélicoptère, engin mal connu à l’époque…
Ce qui m’a poussé à traiter ce cas, ce n’est pas sa simplicité (car il est quand même relativement simple) mais plus l’intime conviction que la totalité des enquêteurs qui l’ont étudié ont fait fausse route sans exception. Ces derniers ont le plus souvent préféré se réfugier derrière des solutions toutes trouvées, mettant leurs incohérences sur le compte de l’imprécision des témoignages plutôt que de s’orienter vers des solutions bien plus simples... Dans le genre c’est presque un cas d’école !
Bref, hélicoptère, soucoupe volante… ou tout autre chose, c’est ce que nous allons voir ici.
Chronologiquement parlant, ce cas se déroule à la fin de ce que l’on a surnommé la vague de 1954. Pour les journalistes de l’époque la tentation de relier cette affaire banale à la masse des histoires insolites apparues dans le courant de l’année était probablement trop forte. C’est d’ailleurs manifestement là l’origine de toute cette affaire.
Le dossier en lien ci-dessous comporte des dizaines d’articles faisant référence à ce cas. Merci au passage à son auteur d’en avoir fait la compilation, cela m’aura été bien utile. Pour vous en simplifier la lecture j’en ai extrait les éléments les plus pertinents.
http://ufologie.patrickgross.org/1954/24sep1954digesf.htm
JOURNAL "L'YONNE REPUBLICAINE:" 28 septembre 1954 (paru seulement 4 jours après les faits).
On y apprend que le journal a envoyé au moins deux journalistes sur place, ce qui tend à donner du crédit aux propos rapportés par les témoins.
Récit des journalistes :
…deux personnes de Diges ont aperçu, Vendredi matin, à 9 heures environ, un engin de couleur foncée et terne, tapi à l'angle d'une clairière. Sans bruit, l'appareil a disparu avec rapidité et discrétion. …nous avons été obligés de nous rendre à l'évidence. Un engin inconnu de la technique volante moderne répandue sur notre planète s'est posé, vendredi matin, à Diges.
Mme Vve Geoffroy (le 1er témoin, 69 ans) s’exprime : … mon attention fut attirée à gauche par un engin bizarre. Auprès de cette masse ayant la forme d'une soucoupe renversée, un homme de taille moyenne me regardait. Il était vêtu de couleur foncée et portait sur la tête une sorte de calot kaki - vraisemblablement. Il dépassait d'une tête la hauteur de la soucoupe.
- Couleur de l’engin : Gris sale foncé, presque marron… terne.
- Dimensions de l’engin : 5 à 6 mètres. J'étais à une centaine de mètres. Je n'ai pas regardé longtemps.
- Le site : Le pré (80 mètres sur 40), légèrement montant… le quatrième côté du pré est bordé par une route.
Les journalistes ajoutent : Ayant noté quelques traces de roues dans le champ… Mais nos suppositions allaient s'effacer devant les réponses de la seconde personne ayant vu la soucoupe.
Mlle Gisèle FIN (le 2eme témoin, 16 ans) s’exprime : Mes chiens se sont mis à japper dans le pré. Je me suis approchée à une trentaine de mètres et, de cette place, j'ai vu un engin, plus bas qu'une voiture, de couleur gris foncée, marron. Un mélange difficile à décrire. Terne et unie. La hauteur : Un mètre environ. L'engin de cinq mètres au moins était plus pointu à un bout et plus arrondi à l'autre.
Je maintiens qu'il était plus effilé d'un côté. Il reposait comme sur des patins. Je les ai vus. …une porte, comme celle d'une trappe, était ouverte, "droite en l'air". (Ce que Mme Geoffroy de plus loin à pris pour un renflement) Rien ne brillait sur cette porte? Non, c'était bien une porte, croyez-moi. Le pilote en tenue foncée presque noire portait un casque. Il avait des souliers et, près de son appareil, travaillait, presque accroupi. Le col de sa combinaison était relevé. Je n'ai pas vu la couleur de sa peau."
Elle quitte donc l'engin des yeux et s'enfonce dans le bois. Lorsque, par la route, elle revient regarder dans la clairière, l'engin a disparu sans aucun bruit. D’après une habitante de la ferme de Mme Guillot qui est allée quelques instants plus tard sur les lieux. Elle nous affirme, comme Mlle Fin, avoir vu dans la rosée deux traces distantes de 50 centimètres et large comme le doigt (l'herbe était sèche à cet endroit).
Nous voici arrivé à la fin du premier article de presse.
Bon normalement avec ce seul récit vous devriez être en mesure d’identifier assez facilement l’engin mystérieux qui se trouvait face aux deux témoins. Franchement ce n’est pas très difficile si on suit à la lettre les explications qui ont été données…
Dans l’ensemble tous les autres articles qui suivent dans le dossier sont des versions édulcorés de cette description originale et n’ont donc que peu d’intérêt. Il est hautement probable que ces documents ont été en grande majorité rédigés sans qu’aucune enquête de terrain n’ait été conduite. Toutefois certains d’entre eux comportent des éléments intéressants.
On y apprend entre autre que l’engin pouvait mesurer jusqu’à 7 mètres et était en forme de cigare, plus ou moins pointu, éventuellement bombé en son milieu. Mlle FIN a quitté l’engin des yeux pendant 3 ou 4 minutes (elle est donc restée proche du site) avant que l’engin ne disparaisse. Sur la rosée, à la place où l’engin avait été vu, se trouvaient des traces d'herbes sèches, distantes de 50 à 80 centimètres environ. Ces marques faisaient penser à des marques de patins très minces.
Après quoi de nombreux acteurs extérieurs ont donné leur point de vue sur le cas. Beaucoup, dont l’ufologue Charles Garreau pointent l’hélicoptère Bell 47 comme coupable probable de cette affaire, même si d’autres indiquent des discordances entre cette hypothèse et les traces au sol. Jacques Vallée transforme allègrement le cigare en soucoupe, et de nombreux ufologues le citent sans plus de vérifications. Certains rappels que personne n’a rien vu, ni décoller ni atterrir, mais que l’accoutrement du pilote fait penser à un pilote d’hélicoptère.
Patrick Gross, l’auteur du site web déclare pour finir que : Si un ufologue ayant enquêté sur place a conclu, de même que certains journalistes qu’il devait s’agir d’un hélicoptère Bell 47, il devient « parfaitement illégitime de proposer sans bases sérieuses » d’autres options.
Là-dessus il brocarde Jacques Vallée pour avoir maquiller cette affaire en cas ufologique « là où il n'y a qu'hélicoptère. » Idem pour les enquêteurs « Barthel et Brucker » qui se font allumer pour les même raisons. «Il y a simplement l'ignorance de ce qu'est un hélicoptère, engin très nouveau dans la France de 1954, au moins pour une veuve de 59 ans et une jeune fille de 16 ans dont on peut légitimement supposer qu'elles ne sont pas au fait des dernières nouveautés aéronautiques …»
L’auteur, bien que convaincu note toutefois quelques « problèmes » concernant l’hypothèse hélicoptère :
- la taille de l'engin décrit semble être trop petite pour correspondre au Bell 47.
- En France en 1954, des Bell 47 il y en avait fort peu, 1 exemplaire militaire et quelques appareils civils d'épandage agricole. Il semble bien que ce n'est qu'en 1955 qu'un deuxième Bell 47 militaire est acquis.
- problème de l'intervalle entre les patins même si plusieurs traces peuvent avoir été imbriquées les unes dans les autres (si l'engin a rebondi ou si des confusions avec les traces de voitures également vue-là ont eu lieu).
- Le silence est un problème pour la théorie de l'hélicoptère, mais il se peut que ce soit seulement un problème dû au manque de précision dans l'article de journal ou le résultat d'un certain malentendu.
Mais faut-il renoncer à l'hélicoptère? Pour l’auteur certainement pas ! Il propose alors le "Djinn 22 SO 1221" de pré-série construits pour évaluation pour l'armée française. Les vols débutent au sein l'Aviation Légère de l'Armée de Terre... le 23 septembre 1954, "comme par hasard".
Ensuite vient l’éternelle question qui finit toujours par "non" :
Mais sont-ce des témoins qualifiés? … à une époque où pratiquement personne n'a jamais vu un hélicoptère… Les deux témoins ne sont pas des témoins qualifiés. De plus, les deux témoins n'ont pas décrit une soucoupe volante.
Il ajoute enfin :
Il est évident que les journalistes n'ont pas même pensé à un hélicoptère. Ils ont pensé à une voiture sous une housse, et l'ont éliminée puisque les voitures ne volent pas… il est évident que le journaliste sait d'avance ce qu'il recherche: une soucoupe. Il sait qu'une soucoupe est ronde et brillante. Mais les deux témoins sont tout à fait clairs: la chose n'est pas brillante et n'est pas ronde.
Bref, tout le monde conclu à un hélicoptère, donc il s’agissait probablement d’un petit hélicoptère léger.
Voilà pour l’avis de l’auteur du site web qui synthétise assez bien les propos des autres enquêteurs ayant étudié le cas.
On m’avait dit de créer un fil spécifique pour parler de ce cas et de l’intituler : Le cas hélico de Diges.
Vous comprendrez à la fin de mon enquête pourquoi j’ai décidé de changer le titre…
Diges, 24 septembre 1954, un cas assez banal comme il en existe des centaines, voire des milliers dans la littérature ufologique des années 50-60. Deux témoins aperçoivent quelques choses qu’elles n’identifient pas, il y a un individu mystérieux, des traces au sol et pas grand-chose de plus… Pour les journalistes c’est forcément une soucoupe, pour les ufologues un cas de RR3 avéré, et pour les sceptiques un énième cas de méprise avec un hélicoptère, engin mal connu à l’époque…
Ce qui m’a poussé à traiter ce cas, ce n’est pas sa simplicité (car il est quand même relativement simple) mais plus l’intime conviction que la totalité des enquêteurs qui l’ont étudié ont fait fausse route sans exception. Ces derniers ont le plus souvent préféré se réfugier derrière des solutions toutes trouvées, mettant leurs incohérences sur le compte de l’imprécision des témoignages plutôt que de s’orienter vers des solutions bien plus simples... Dans le genre c’est presque un cas d’école !
Bref, hélicoptère, soucoupe volante… ou tout autre chose, c’est ce que nous allons voir ici.
Chronologiquement parlant, ce cas se déroule à la fin de ce que l’on a surnommé la vague de 1954. Pour les journalistes de l’époque la tentation de relier cette affaire banale à la masse des histoires insolites apparues dans le courant de l’année était probablement trop forte. C’est d’ailleurs manifestement là l’origine de toute cette affaire.
Le dossier en lien ci-dessous comporte des dizaines d’articles faisant référence à ce cas. Merci au passage à son auteur d’en avoir fait la compilation, cela m’aura été bien utile. Pour vous en simplifier la lecture j’en ai extrait les éléments les plus pertinents.
http://ufologie.patrickgross.org/1954/24sep1954digesf.htm
JOURNAL "L'YONNE REPUBLICAINE:" 28 septembre 1954 (paru seulement 4 jours après les faits).
On y apprend que le journal a envoyé au moins deux journalistes sur place, ce qui tend à donner du crédit aux propos rapportés par les témoins.
Récit des journalistes :
…deux personnes de Diges ont aperçu, Vendredi matin, à 9 heures environ, un engin de couleur foncée et terne, tapi à l'angle d'une clairière. Sans bruit, l'appareil a disparu avec rapidité et discrétion. …nous avons été obligés de nous rendre à l'évidence. Un engin inconnu de la technique volante moderne répandue sur notre planète s'est posé, vendredi matin, à Diges.
Mme Vve Geoffroy (le 1er témoin, 69 ans) s’exprime : … mon attention fut attirée à gauche par un engin bizarre. Auprès de cette masse ayant la forme d'une soucoupe renversée, un homme de taille moyenne me regardait. Il était vêtu de couleur foncée et portait sur la tête une sorte de calot kaki - vraisemblablement. Il dépassait d'une tête la hauteur de la soucoupe.
- Couleur de l’engin : Gris sale foncé, presque marron… terne.
- Dimensions de l’engin : 5 à 6 mètres. J'étais à une centaine de mètres. Je n'ai pas regardé longtemps.
- Le site : Le pré (80 mètres sur 40), légèrement montant… le quatrième côté du pré est bordé par une route.
Les journalistes ajoutent : Ayant noté quelques traces de roues dans le champ… Mais nos suppositions allaient s'effacer devant les réponses de la seconde personne ayant vu la soucoupe.
Mlle Gisèle FIN (le 2eme témoin, 16 ans) s’exprime : Mes chiens se sont mis à japper dans le pré. Je me suis approchée à une trentaine de mètres et, de cette place, j'ai vu un engin, plus bas qu'une voiture, de couleur gris foncée, marron. Un mélange difficile à décrire. Terne et unie. La hauteur : Un mètre environ. L'engin de cinq mètres au moins était plus pointu à un bout et plus arrondi à l'autre.
Je maintiens qu'il était plus effilé d'un côté. Il reposait comme sur des patins. Je les ai vus. …une porte, comme celle d'une trappe, était ouverte, "droite en l'air". (Ce que Mme Geoffroy de plus loin à pris pour un renflement) Rien ne brillait sur cette porte? Non, c'était bien une porte, croyez-moi. Le pilote en tenue foncée presque noire portait un casque. Il avait des souliers et, près de son appareil, travaillait, presque accroupi. Le col de sa combinaison était relevé. Je n'ai pas vu la couleur de sa peau."
Elle quitte donc l'engin des yeux et s'enfonce dans le bois. Lorsque, par la route, elle revient regarder dans la clairière, l'engin a disparu sans aucun bruit. D’après une habitante de la ferme de Mme Guillot qui est allée quelques instants plus tard sur les lieux. Elle nous affirme, comme Mlle Fin, avoir vu dans la rosée deux traces distantes de 50 centimètres et large comme le doigt (l'herbe était sèche à cet endroit).
Nous voici arrivé à la fin du premier article de presse.
Bon normalement avec ce seul récit vous devriez être en mesure d’identifier assez facilement l’engin mystérieux qui se trouvait face aux deux témoins. Franchement ce n’est pas très difficile si on suit à la lettre les explications qui ont été données…
Dans l’ensemble tous les autres articles qui suivent dans le dossier sont des versions édulcorés de cette description originale et n’ont donc que peu d’intérêt. Il est hautement probable que ces documents ont été en grande majorité rédigés sans qu’aucune enquête de terrain n’ait été conduite. Toutefois certains d’entre eux comportent des éléments intéressants.
On y apprend entre autre que l’engin pouvait mesurer jusqu’à 7 mètres et était en forme de cigare, plus ou moins pointu, éventuellement bombé en son milieu. Mlle FIN a quitté l’engin des yeux pendant 3 ou 4 minutes (elle est donc restée proche du site) avant que l’engin ne disparaisse. Sur la rosée, à la place où l’engin avait été vu, se trouvaient des traces d'herbes sèches, distantes de 50 à 80 centimètres environ. Ces marques faisaient penser à des marques de patins très minces.
Après quoi de nombreux acteurs extérieurs ont donné leur point de vue sur le cas. Beaucoup, dont l’ufologue Charles Garreau pointent l’hélicoptère Bell 47 comme coupable probable de cette affaire, même si d’autres indiquent des discordances entre cette hypothèse et les traces au sol. Jacques Vallée transforme allègrement le cigare en soucoupe, et de nombreux ufologues le citent sans plus de vérifications. Certains rappels que personne n’a rien vu, ni décoller ni atterrir, mais que l’accoutrement du pilote fait penser à un pilote d’hélicoptère.
Patrick Gross, l’auteur du site web déclare pour finir que : Si un ufologue ayant enquêté sur place a conclu, de même que certains journalistes qu’il devait s’agir d’un hélicoptère Bell 47, il devient « parfaitement illégitime de proposer sans bases sérieuses » d’autres options.
Là-dessus il brocarde Jacques Vallée pour avoir maquiller cette affaire en cas ufologique « là où il n'y a qu'hélicoptère. » Idem pour les enquêteurs « Barthel et Brucker » qui se font allumer pour les même raisons. «Il y a simplement l'ignorance de ce qu'est un hélicoptère, engin très nouveau dans la France de 1954, au moins pour une veuve de 59 ans et une jeune fille de 16 ans dont on peut légitimement supposer qu'elles ne sont pas au fait des dernières nouveautés aéronautiques …»
L’auteur, bien que convaincu note toutefois quelques « problèmes » concernant l’hypothèse hélicoptère :
- la taille de l'engin décrit semble être trop petite pour correspondre au Bell 47.
- En France en 1954, des Bell 47 il y en avait fort peu, 1 exemplaire militaire et quelques appareils civils d'épandage agricole. Il semble bien que ce n'est qu'en 1955 qu'un deuxième Bell 47 militaire est acquis.
- problème de l'intervalle entre les patins même si plusieurs traces peuvent avoir été imbriquées les unes dans les autres (si l'engin a rebondi ou si des confusions avec les traces de voitures également vue-là ont eu lieu).
- Le silence est un problème pour la théorie de l'hélicoptère, mais il se peut que ce soit seulement un problème dû au manque de précision dans l'article de journal ou le résultat d'un certain malentendu.
Mais faut-il renoncer à l'hélicoptère? Pour l’auteur certainement pas ! Il propose alors le "Djinn 22 SO 1221" de pré-série construits pour évaluation pour l'armée française. Les vols débutent au sein l'Aviation Légère de l'Armée de Terre... le 23 septembre 1954, "comme par hasard".
Ensuite vient l’éternelle question qui finit toujours par "non" :
Mais sont-ce des témoins qualifiés? … à une époque où pratiquement personne n'a jamais vu un hélicoptère… Les deux témoins ne sont pas des témoins qualifiés. De plus, les deux témoins n'ont pas décrit une soucoupe volante.
Il ajoute enfin :
Il est évident que les journalistes n'ont pas même pensé à un hélicoptère. Ils ont pensé à une voiture sous une housse, et l'ont éliminée puisque les voitures ne volent pas… il est évident que le journaliste sait d'avance ce qu'il recherche: une soucoupe. Il sait qu'une soucoupe est ronde et brillante. Mais les deux témoins sont tout à fait clairs: la chose n'est pas brillante et n'est pas ronde.
Bref, tout le monde conclu à un hélicoptère, donc il s’agissait probablement d’un petit hélicoptère léger.
Voilà pour l’avis de l’auteur du site web qui synthétise assez bien les propos des autres enquêteurs ayant étudié le cas.
Dernière édition par gfx le 22/01/18, 10:02 am, édité 3 fois