Un djinn ?
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vielle légende.L.J. Silver a écrit:Dans le cas présent, je ne crois guère à l'hypothèse sociopsychologique.
En effet, dans ce coin perdu, le témoin qui, d'ailleurs ne sait pas lire, n'a pas pu être influencé par des livres de S.F. ni par des émissions radio ou TV.
Des observations similaires, du type "tôles et boulons", ont été rapportées dans des coins tout aussi déconnectés de la
civilisation occidentale, notamment au Brésil et en Argentine.
Comment l'HSP pourrait elle expliquer de telles similitudes entre des témoins évoluant dans des contextes socio-culturels aussi différents ?
Justement, le témoin n'est jamais allé à l'école... il est originaire du pays, et à l'époque (1967) l'électricité était totalement inconnue dans le village. ( pas de radio , pas de télévision, pas de journal, pas de livres, le témoin ne sait même pas lire)oncle dom a écrit:vielle légende.L.J. Silver a écrit:Dans le cas présent, je ne crois guère à l'hypothèse sociopsychologique.
En effet, dans ce coin perdu, le témoin qui, d'ailleurs ne sait pas lire, n'a pas pu être influencé par des livres de S.F. ni par des émissions radio ou TV.
Des observations similaires, du type "tôles et boulons", ont été rapportées dans des coins tout aussi déconnectés de la
civilisation occidentale, notamment au Brésil et en Argentine.
Comment l'HSP pourrait elle expliquer de telles similitudes entre des témoins évoluant dans des contextes socio-culturels aussi différents ?
Dans les années 60, on mettait en avant des observations survenus à Madagascar ou en nouvelle Guinée, en oubliant soigneusement de dire qu'elle avaient été faites par des occidentaux.
Dans les années 70; au Gabon, Bertrand Meheust a pu vérifier que les enfants élevés au village n'avait pas la nation d'OVNI, mais que dans le même village, un enfant ayant été à l'école dans une grande ville, savait reconnaitre une soucoupe volante.
Aujourd'hui, qu'on sait regarder la télé depuis n'importe quel pays avec une antenne parabolique, comment prouver qu'un témoin n'a pas été en contact avec le mythe OVNI? Les T/C eux même se retranche derrière le fait que l'absence de preuve n'est pas la preuve de l'absence.
Il est donc vain de prétendre que le témoin ne peut pas avoir déjà été en contact avec ce thème.
Oui, mais le problème n'est pas là. Le problème est que l'histoire est racontée 40 ans après, à l'aide d'un interprète, à un enquéteur assoiffé de récits d'atterrissage de soucoupes, et qui va faire les dessins lui même.L.J. Silver a écrit:Justement, le témoin n'est jamais allé à l'école... il est originaire du pays, et à l'époque (1967) l'électricité était totalement inconnue dans le village. ( pas de radio , pas de télévision, pas de journal, pas de livres, le témoin ne sait même pas lire)
Même aujourd'hui, ils n'ont pas la télévision...
En outre, pensez vous que dans ces conditions, le témoin ait présenté ne serait ce que l'ombre d'un intérêt pour les Ovnis ?
Même aujourd'hui, plus de 40 ans après l'observation, ces villageois vivent dans un dénuement total.
Même pas de chaises, pas de tables...aucun mobilier, vous imaginez un peu ?
Non, non, ce n'est pas ça...Cortex a écrit:Ils n'en ont pas. C'est bien connu, quand on n'a pas la télé, on n'a pas de relations sociales et on n'interagit pas avec le reste du monde...
Ah, c'est donc ainsi que vous interprétez l'affaire de Quarouble ?oncle dom a écrit:Oui, mais le problème n'est pas là. Le problème est que l'histoire est racontée 40 ans après, à l'aide d'un interprète, à un enquéteur assoiffé de récits d'atterrissage de soucoupes, et qui va faire les dessins lui même.L.J. Silver a écrit:Justement, le témoin n'est jamais allé à l'école... il est originaire du pays, et à l'époque (1967) l'électricité était totalement inconnue dans le village. ( pas de radio , pas de télévision, pas de journal, pas de livres, le témoin ne sait même pas lire)
Même aujourd'hui, ils n'ont pas la télévision...
En outre, pensez vous que dans ces conditions, le témoin ait présenté ne serait ce que l'ombre d'un intérêt pour les Ovnis ?
Même aujourd'hui, plus de 40 ans après l'observation, ces villageois vivent dans un dénuement total.
Même pas de chaises, pas de tables...aucun mobilier, vous imaginez un peu ?
Quand on voit que ce qu'est devenu l'affaire de Quarouble, sur la base probable du stationnement d'un fourgon de contrebandiers, immédiatement suivi du passage d'un bolide, il y a de quoi se méfier.
Ca fait des dizaines d'années que j'accumule de la documentation, et je regrette de ne pas retrouver l'article qui mentionnait une observation de bolide en normandie, à la même heure qu'on l'observait en région parisienne, et en celle de Valenciennes.L.J. Silver a écrit:
Ah, c'est donc ainsi que vous interprétez l'affaire de Quarouble ?
La dernière fois que j'ai visité votre site, cette partie était encore en construction.
Les contrebandiers n'étaient pas nains. On les a d'ailleurs revu, faisant du porte à porte. Ils étaient de petite taille et portaient des casquettes à visière dites cirées (luisantes comme du verre). Si leurs têtes dépassaient à peine au dessus de la clôture à claire voie, c'est qu'ils marchaient dans le fossé.Mais pourquoi des contrebandiers nains ?
Il n'y a jamais eu de rayon paralysant. Le témoin a brusquement reçu dans les yeux le faisceau d'une lampe torche, venu du fourgon (dont la porte était ouverte) ce qui l'a totalement surpris et bloqué. Il faut dire qu'il avait déja eu un traumatisme cranien.et le rayon paralysateur ?
C'est la lampe torche qui a aveuglé le témoin. Le bolide intervient juste après, quand le fourgon commence à disparaitre dans la nuit. Quasiment au même moment, un bolide s'allume dans le ciel, partant à peu près dans la même direction. C'est cette coïncidence qui a créé l'affaire de Quarouble. Le témoin a immédiatement identifié, l'objet sombre qu'il venait de voir au sol, et l'objet lumineux qu'il voyait s'enfuir à grande vitesse. Résultat, une frayeur intense, dont le commissaire verra encore les traces.Il me semble aussi que la luminosité d'un bolide ne serait pas suffisante pour aveugler le témoin ?
Oncle Dom, votre explication se tient, je crois que vous m'avez convaincu !oncle dom a écrit:Ca fait des dizaines d'années que j'accumule de la documentation, et je regrette de ne pas retrouver l'article qui mentionnait une observation de bolide en normandie, à la même heure qu'on l'observait en région parisienne, et en celle de Valenciennes.L.J. Silver a écrit:
Ah, c'est donc ainsi que vous interprétez l'affaire de Quarouble ?
La dernière fois que j'ai visité votre site, cette partie était encore en construction.
La description du témoin est bien celle d'un fourgon: taille d'une charrette de foin, mais surtout bruit de porte à glissière.. Détail volontairement ignoré des ufologues, avec celui du cahotement sur les traverses
Les contrebandiers n'étaient pas nains. On les a d'ailleurs revu, faisant du porte à porte. Ils étaient de petite taille et portaient des casquettes à visière dites cirées (luisantes comme du verre). Si leurs têtes dépassaient à peine au dessus de la clôture à claire voie, c'est qu'ils marchaient dans le fossé.Mais pourquoi des contrebandiers nains ?
Il n'y a jamais eu de rayon paralysant. Le témoin a brusquement reçu dans les yeux le faisceau d'une lampe torche, venu du fourgon (dont la porte était ouverte) ce qui l'a totalement surpris et bloqué. Il faut dire qu'il avait déja eu un traumatisme cranien.et le rayon paralysateur ?
C'est la lampe torche qui a aveuglé le témoin. Le bolide intervient juste après, quand le fourgon commence à disparaitre dans la nuit. Quasiment au même moment, un bolide s'allume dans le ciel, partant à peu près dans la même direction. C'est cette coïncidence qui a créé l'affaire de Quarouble. Le témoin a immédiatement identifié, l'objet sombre qu'il venait de voir au sol, et l'objet lumineux qu'il voyait s'enfuir à grande vitesse. Résultat, une frayeur intense, dont le commissaire verra encore les traces.Il me semble aussi que la luminosité d'un bolide ne serait pas suffisante pour aveugler le témoin ?
On peut faire remarquer qu'une telle coïncidence est extraordinaire, mais si elle n'avait pas eu lieu, il n'y aurait jamais eu d'affaire de Quarouble, et la vague de 1954 aurait eu une autre allure, puisque c'est après Quarouble qu'on commence à rapporter des histoires de martiens.
Et puis, en général, c'est d'après les sources originales qu'il faut juger, pas d'après les livres d'ufologie.
C'est dans les journaux de l'époque, et rappelé par Jimmy Guieu dans Black out sur les soucoupes volantes . Le témoin avait eu un accident du travail l'année précédente, il en aurait gardé quelques troubles nerveux. Certains ont voulu en induire une hallucination. S'il avait vu un engin lumineux descendre vers lui, des petits êtres s'élever du sol pour y monter, une grande paix l'envahir pendant que l'engin remontait vers le zénith, l'hallucination tiendrait la route.L.J. Silver a écrit:Oncle Dom, votre explication se tient, je crois que vous m'avez convaincu !
encore qq questions si vous permettez :
Le témoin avait eu un traumatisme crânien ? je n'en ai jamais entendu parler.
Les traces sur les traverses n'ont été observées que le surlendemain. Le commissaire s'étant rendu sur place le lendemain matin, n'a rien vu.Mais les traces sur les traverses, le poids estimé à trente tonnes ?
Et voila, la légende des trentes tonnes vient d'Aimé Michel, qui écrit:Les ingénieurs de la SNCF venu examiner ces empreintes ont déclaré que « la pression qu'elles révèlent correspond à un poids de trente tonnes » (6) Je me demande comment de tels experts ont pu sérieusement parler de pression sur les traverses, alors que de toute évidence, ce que j'ai devant les yeux à cet instantest au contraire la trace d'un arrachement!
(6) « M.O.C. » (Aimé Michel) , 1958, p 69
Mais Aimé Michel ne nous dit pas comment il l'a su. Jimmy Guieu n'en dit rien, et la presse de l'époque non plus.Enfin, (et je n'ai eu connaissance de ce point capital que deux ans après) les ingénieurs des chemins de fer, consultés par les enquêteurs, déterminèrent la pression qu'il avait fallu exercer sur les traverses pour obtenir de telles empreintes. Voici en substance leur réponse:
« la pression révèlée par ces empreintes correspond à un poids de trente tonnes »
Ce n'est pas impossible... https://fr.wikipedia.org/wiki/SNCASO_SO.1221_DjinnL.J. Silver a écrit:Un djinn ?
Note que ça contient pas mal de documents que j'avais filé à Gaudeau.Administrateur a écrit:Puis, pour en savoir plus sur le cas de Quarouble (et je confirme les propos d'OD au passage - je pourrais ajouter même la légende des vaches mortes trouvées soit disant après le cas dans un champ voisin et que les autorités auraient caché à la popu.) lire ceci :
"Observation du 10 septembre 1954 par M Dewilde à Quarouble" de l'IRAME (auteurs : Prof; C Gaudeau de Gerlicz et J-L Gouzien). Incontournable ! *
Globalement c'est bien le cas comme l'a montré en son temps Denys Breisse avec sa base de données des RR3 (Bécassine). Selon les régions/continents et les époques des scenarii typiques et diifférents existent. Ils peuvent d'ailleurs finir par être importés culturellement (abductions, missing time, téléportation de véhicules, attaque de nains poilus,...).En conséquence, il me semble qu'un Berbère ne devrait pas voir exactement la même chose qu'un Brésilien, qu'un Français ou un Argentin...par exemple.
Merci pour ce document très intéressant.Administrateur a écrit:Pour Silver, cadeau :
http://cnegu.info/manuals/EtudeTPC.pdf?osCsid=629fe5fb480d0fa246812ef8de83e20c
Puis, pour en savoir plus sur le cas de Quarouble (et je confirme les propos d'OD au passage - je pourrais ajouter même la légende des vaches mortes trouvées soit disant après le cas dans un champ voisin et que les autorités auraient caché à la popu.) lire ceci :
"Observation du 10 septembre 1954 par M Dewilde à Quarouble" de l'IRAME (auteurs : Prof; C Gaudeau de Gerlicz et J-L Gouzien). Incontournable ! *
*
- Spoiler:
Je l'aurais volontiers ré-édité en format dossier se SO ce document ! Il serait encore disponible pour tous !
Amicalement.
Ajout : Il existe une petite vidéo (dans mon ordi.) qui montre bien qu'à l'époque M Dewilde cherchait les traces avec un journaliste. Eloquent et révélateur ce passage. Sans compter la similitude entre son fils et la description (par la suite) des fameux êtres !
Non, je ne trouve pas. Le témoin a tenté de les capturer quand il les percevait comme des rodeurs de petite taille.L.J. Silver a écrit:Oui, il y a des étrangetés dans le témoignage Dewilde.
Je trouve bizarre, notamment, qu'un témoin qui tremblait de peur à son arrivée dans le commissariat ait eu l'idée saugrenue de tenter de capturer l'un de ces "êtres", vous ne trouvez pas ?
J'entends bien, mais il me semble qu'un rôdeur, a fortiori un rôdeur contrebandier, même de petite taille, peut s'avérer plus dangereux qu'un Martien en perdition.oncle dom a écrit:Non, je ne trouve pas. Le témoin a tenté de les capturer quand il les percevait comme des rodeurs de petite taille.L.J. Silver a écrit:Oui, il y a des étrangetés dans le témoignage Dewilde.
Je trouve bizarre, notamment, qu'un témoin qui tremblait de peur à son arrivée dans le commissariat ait eu l'idée saugrenue de tenter de capturer l'un de ces "êtres", vous ne trouvez pas ?
C'est après qu'il ait cru voir l'engin partir dans le ciel qu'il a commencé à paniquer.
On était en 1954, où les kalachnikovs ne se trouvaient pas chez les brocanteurs. Ces rôdeurs étaient de petite taille, Marius Dewilde se sentait vigoureux, et c'était plutôt un "dur". Il s'est expliqué la dessus.L.J. Silver a écrit:J'entends bien, mais il me semble qu'un rôdeur, a fortiori un rôdeur contrebandier, même de petite taille, peut s'avérer plus dangereux qu'un Martien en perdition.
Si vous rencontriez un groupe de rôdeurs la nuit, tout près de chez vous, votre premier réflexe serait il de tenter de capturer l'un d'eux ?
oncle dom a écrit:On était en 1954, où les kalachnikovs ne se trouvaient pas chez les brocanteurs. Ces rôdeurs étaient de petite taille, Marius Dewilde se sentait vigoureux, et c'était plutôt un "dur". Il s'est expliqué la dessus.L.J. Silver a écrit:J'entends bien, mais il me semble qu'un rôdeur, a fortiori un rôdeur contrebandier, même de petite taille, peut s'avérer plus dangereux qu'un Martien en perdition.
Si vous rencontriez un groupe de rôdeurs la nuit, tout près de chez vous, votre premier réflexe serait il de tenter de capturer l'un d'eux ?
Il avait d'ailleurs tout intérêt à se mettre bien avec la police locale.
Dernière édition par L.J. Silver le 13/09/13, 07:28 pm, édité 1 fois
Marius Dewilde était certainement tout sauf un trouillard ! C'était même une force de la nature. peu de gens à cette époque dans son quartier n'osait le chercher croyez moi. puis, a-t-il réellement cherché à attraper unSilver a écrit:J'entends bien, mais il me semble qu'un rôdeur, a fortiori un rôdeur contrebandier, même de petite taille, peut s'avérer plus dangereux qu'un Martien en perdition.
Je m'en doutais !Administrateur a écrit:Marius Dewilde était certainement tout sauf un trouillard ! C'était même une force de la nature. peu de gens à cette époque dans son quartier n'osait le chercher croyez moi. puis, a-t-il réellement cherché à attraper unSilver a écrit:J'entends bien, mais il me semble qu'un rôdeur, a fortiori un rôdeur contrebandier, même de petite taille, peut s'avérer plus dangereux qu'un Martien en perdition."martien"contrebandier ? Ou est-ce un ajout ?
Peut être que c'est un ajout. Oncle Dom pourrait, je crois, nous répondre à ce sujet.
Pour les résidus, P Isoulet a dénoncé cela depuis longtemps ! Il est un des rare à avoir rencontré Dewilde ! Le gus qui utilise ces échantillons à fait l'interview (bien grand mot) par téléphone et encore, ne laissant que très peu Marius parler ! C'est dire... En deux mot l'article vient d'un petit rigolo et ne vaut pas tripette.
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