Dans les années 50, la mémorable vague de 1954, a laissé des séquelles. Les ufologues de la première génération, les "ouranistes" en quelque sorte, ont eu du grain à moudre, ou du pain sur la planche, avec toutes ces observations qu'il était important de vérifier, ou tout au moins de compiler.
D'autres futurs ufologues étaient trop jeunes pour partir enquêter, ou même collecter les articles de presse. Tout ce dont je me souviens pour la vague de 1954, c'est que mon père s'est exclamé: "Radar offre un million à qui photographiera une soucoupe volante!", et qu'une publicité ronéotée glissée sous les portes racontait l'atterrissage d'une soucoupe qui avait laissé cette inscription sybilline: REIVAX ZEHC RESSUAHC SUON SNOIRDUOV SUON, ISSUA SUON
Mais quelques années plus tard, les livres, les études, et les articles mentionnant ces études, éveillèrent quelques vocations, comme celle de Jacques Vallée.
On sait que Science et Vie, se réintéressa aux soucoupes volantes, en 1958, suivie par Planète.
Ce qu'on sait peut être moins c'est que des revues plus populaires, comme Le chasseur français, en parlèrent aussi.
Et ce qu'on a peut être oublié, c'est que des revues pour enfants et adolescents, comme TINTIN, avaient aussi des rubriques, a sujets scientifiques et techniques.
Voici donc un exemple de revue pour jeunes, où l'on a parlé des soucoupes volantes
Lisez donc ceci
Au menu: conquête de l'espace, alignements d'Aimé Michel, et rêveries des savants soviétiques. Exactement ce qu'on trouvait à l'époque dans des revues comme Science et Vie, Au delà du ciel, ou Planète.
C'est là dedans que j'ai découvert la théorie d'Aimé Michel, et je me suis alors dit qu'il faudrait installer une base d'observation à Domérat (J'ignorais alors que le centre de l'étoile changeait tous les jours).
Je persiste à penser que la vulgarisation scientifique a eu plus d'influence sur l'ufologie que la science-fiction. C'était là, avec les hallucinations collectives, une explication toute-faite des messieurs je-sais-tout du café du commerce. Bizarre qu'on en retrouve encore des relents dans une thèse.
D'autres futurs ufologues étaient trop jeunes pour partir enquêter, ou même collecter les articles de presse. Tout ce dont je me souviens pour la vague de 1954, c'est que mon père s'est exclamé: "Radar offre un million à qui photographiera une soucoupe volante!", et qu'une publicité ronéotée glissée sous les portes racontait l'atterrissage d'une soucoupe qui avait laissé cette inscription sybilline: REIVAX ZEHC RESSUAHC SUON SNOIRDUOV SUON, ISSUA SUON
Mais quelques années plus tard, les livres, les études, et les articles mentionnant ces études, éveillèrent quelques vocations, comme celle de Jacques Vallée.
On sait que Science et Vie, se réintéressa aux soucoupes volantes, en 1958, suivie par Planète.
Ce qu'on sait peut être moins c'est que des revues plus populaires, comme Le chasseur français, en parlèrent aussi.
Et ce qu'on a peut être oublié, c'est que des revues pour enfants et adolescents, comme TINTIN, avaient aussi des rubriques, a sujets scientifiques et techniques.
Voici donc un exemple de revue pour jeunes, où l'on a parlé des soucoupes volantes
Lisez donc ceci
Au menu: conquête de l'espace, alignements d'Aimé Michel, et rêveries des savants soviétiques. Exactement ce qu'on trouvait à l'époque dans des revues comme Science et Vie, Au delà du ciel, ou Planète.
C'est là dedans que j'ai découvert la théorie d'Aimé Michel, et je me suis alors dit qu'il faudrait installer une base d'observation à Domérat (J'ignorais alors que le centre de l'étoile changeait tous les jours).
Je persiste à penser que la vulgarisation scientifique a eu plus d'influence sur l'ufologie que la science-fiction. C'était là, avec les hallucinations collectives, une explication toute-faite des messieurs je-sais-tout du café du commerce. Bizarre qu'on en retrouve encore des relents dans une thèse.