La lecture du dernier « Sunlight » démontre à travers nombre de témoignage ou d’histoire de science-fiction que le magnétisme, sous une forme peut être encore inconnue, est la solution qui nous permettra de réaliser prochainement des véhicules faisant fi de la force gravitationnelle.
Il semblerait que l’invocation de cette force date d’au moins depuis une nouvelle écrite en 1651, et que depuis lors, nombreuse sont les affaires liant ce phénomène avec les engins volants mystérieux provenant d’ici ou d’ailleurs.
Passant par Edgar Allen Poe en 1849, Adamsky en 1956 ou même Lobsang Rampa dix ans plus tard, tout passe par la maitrise de cette force toujours peu explicable.
Une partie de vérité se cache dans ces spéculations ; En fait, il a été déjà démontré par le passé qu’une découverte n’est pas forcément le fait d’un seul homme ou d’un hasard, mais d’une prédisposition d’un certain nombre d’idées naissant dans un contexte particulier.
Si Henrich Hertz n’avait pas découvert les ondes électromagnétiques, d’autres l’auraient fait à sa place. Les idées étaient matures dans l’esprit des grands scientifiques du moment, de nombreuses théories avaient été échafaudées, il était temps.
Edgar Cayce nous le rappelle, notre époque voit l’incarnation de nombreuses entités axant vécu par le passé en Atlantide, à un moment où ces technologies étaient déjà parfaitement maitrisées.
Que ces découvertes technologiques surviennent à notre époque n’est donc pas un hasard : Notre inconscient collectif porte en nous les germes de ce savoir oublié, prêt à éclore à nouveau, comme le printemps succède à l’hiver.