Bonsoir edengenesis et bienvenue sur le forum!
Oui, ce cas classé "D" est le seul pour l'instant présent dans cette catégorie.
Il l'a principalement été suite à la relecture complète des enquêtes et analyses effectuées à l'époque (et plus tard) en particulier par le CISU Italien (via Eduardo Russo, que je salue au passage).
N'eût été que l'analyse photographique seule, ce cas aurait été classé "B" sans aucun doute.
Je tiens à souligner cependant que Gilles à tout à fait raison en ce sens que nous ne sommes pas des spécialistes des sciences cognitives, mais uniquement en traitement de photographies et de vidéos. Un examen approfondi des témoignages par un spécialiste aurait grandement aidé à préciser la conclusion et l'analyse/enquête dans sa globalité.
Bref, ce cas a été classé "D", mais un "
petit D", si j'ose m'exprimer ainsi, l'analyse d'un spécialiste en sciences cognitives faisant défaut ici.
En y réfléchissant davantage, cette discussion est très intéressante et instructive, (j'y pensais déjà depuis un moment) car j'ai toujours considéré qu'une enquête complète se devait d'examiner tous les éléments, testimoniaux et physiques. Je connais, par mon passé d'enquêteur, l'importance du témoignage et de son évaluation.
De notre point de vue, nous devrions nous borner à examiner et analyser les documents photographiques ou vidéos, sans chercher (nous n'avons pas les compétences) à faire d'analyse cognitive.
C'est ce que nous faisons dans toutes nos analyses, exception faite du cas de Cecconi,
ce qui ne devrait pas être.
En conséquence, je pense que nous allons réfléchir, au sein de l'équipe IPACO à mieux définir et cerner notre action, sans déborder dans des domaines où nous ne sommes pas compétents.
Il n'en reste pas moins que j'aimerais beaucoup adjoindre nos capacités d'analyses à celles d'un expert en psychologie afin d'éventuellement renforcer/transformer notre travail et nos résultats dans le sens d'une enquête complète et poussée.
Ce n'est qu'une "idée en l'air", qui pourrait se faire en ou hors IPACO, mais nous avons tout à gagner à mettre les compétences en commun, n'est-ce-pas?