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http://nousnesommespasseuls.xooit.com/t7244-Observation-OVNI-du-28-janvier-1994-au-dessus-de-Paris.htm#84664
Jean-Charles DUBOC
Inscrit le: 02 Mai 2007
Messages: 1
Localisation: Fécamp
Posté le: 18/06/2007 15:15:34 Sujet du message: Observation OVNI du 28 janvier 1994, au-dessus de Paris...
J’ai eu la chance, en tant que commandant de bord d’un Airbus A 320, d’observer un OVNI, et je me dois de rédiger, enfin, un texte qui décrit d’une façon personnelle cette curieuse rencontre.
Tout d’abord, je dois souligner que j’accepte de témoigner uniquement parce que l’observation qui a été faite par moi-même (le commandant de bord), mais aussi par la copilote et le steward qui étaient dans le poste de pilotage, a été confirmée par une TRACE RADAR enregistrée au Centre d’Opérations de la Défense Aérienne (CODA).
Cette observation, largement connue dans le milieu ufologique, mais aussi, maintenant dans le public grâce à de nombreuses émissions de TV, a été réalisée lors du vol AF 3532, entre Nice et Londres, à bord d’un Airbus A 320, le 28 janvier 1994…
Nous étions en croisière à l'altitude de 11 700 m, et c’est à 13H14, à environ 20 km au Nord-Ouest de COULOMMIERS, par d'excellentes conditions météorologiques, que le steward a signalé un objet qui lui paraissait être un ballon météorologique.
Son observation a été aussitôt confirmée par la copilote, qui a identifié, elle aussi, cet objet comme un ballon météorologique, puis il est identifié par moi-même comme un avion en virage à 45° d'inclinaison, ce qui est tout à fait anormal à cette altitude…
Très rapidement cependant, nous avons constaté que ce que nous voyions ne ressemblait à rien de connu et que nous avions à faire à ce que l’on appelle communément un Objet Volant Non Identifié, un OVNI…
La visibilité illimitée, et la présence d'ALTOCUMULUS (sommet max entre 5000 m et 7000 m), m’ont permis d'estimer que cet OVNI était à l'altitude de 10 500 m, et à une distance d'environ 25 miles nautiques, soit 47 km.
Il est nécessaire de souligner qu’à bord d’un avion de ligne qui se déplace à plus de 200 mètres pas seconde il est très facile d’apprécier les DISTANCES avec un autre aéronef en raison de l’impression de défilement plus ou moins rapide, et inversement proportionnel à l’éloignement, avec l’aéronef en question.
Compte tenu de son DIAMÈTRE APPARENT, celui de la LUNE, soit ¼ de l’épaisseur de l’index bras tendu, ou encore 0° 30’, nous en avons déduit que l'engin observé était d’une taille gigantesque car un aéronef est impossible à distinguer à une telle distance.
Sa forme était celle d’une gigantesque lentille rouge sombre en évolution, les contours flous, et nous avons pu l’observer pendant plus d’une minute sur la gauche de l’appareil.
Le plus étonnant est que cet engin a DISPARU PROGRESSIVEMENT, en 10 ou 15 secondes, comme s'il s’était DÉMATÉRIALISÉ…
Conformément aux règles de l’Air, nous avons fait un COMPTE-RENDU au centre de contrôle de la Navigation aérienne de Reims qui nous a indiqué n'avoir aucune information sur une quelconque présence d’aéronef dans le voisinage.
En application de la procédure existante, le Centre de Reims a informé le Centre d'opérations de la défense aérienne (CODA) de Taverny de notre observation.
Au retour à l’aéroport Charles de Gaulle, le chef pilote A 320 m’a demandé de rédiger un rapport que je n’ai pas fait car les CARACTÉRISTIQUES de cet OVNI étaient totalement inconcevables avec mes connaissances scientifiques, et que, surtout, je n’avais jamais eu d’information sur ce type de phénomène dans ma carrière…
Ce n’est que trois années plus tard, en 1997, en lisant un article dans Paris-Match, que j’ai appris que le CODA avait enregistré, au même moment, une piste radar initiée par le centre de contrôle de Cinq-Mars-la-Pile et qui correspondait, en lieu et en heure, au phénomène observé…
J’ai alors décidé, compte tenu de l’existence de cette IDENTIFICATION RADAR, de rédiger un rapport à la Gendarmerie Nationale de l’aéroport de Charles de Gaulle qui a ensuite transmis au Sepra (CNES) ainsi qu’au groupe d’études des OVNI constitué au sein de l’association des anciens élèves de l’Institut des hautes études de la Défense nationale (IHEDN).
Lors d’une réunion à l’École militaire de ce groupe de travail (le COMETA) en mars 1997, j’ai eu la confirmation qu’une piste radar de l’OVNI avait bien été enregistrée pendant 50 secondes et avait croisé à moins de un mile nautique (1852 m) la trajectoire du vol AF 3532…
De plus, le phénomène avait disparu, au même instant, à la vue de l'équipage et des scopes radar.
Les investigations menées par le CODA ont permis d'exclure l'hypothèse du ballon météorologique et de connaître la distance précise de croisement des deux trajectoires radars.
La taille de l’OVNI a été évaluée, lors de cette réunion, à environ 250 mètres, mais ceci est une première estimation, et je penche, aujourd’hui, plutôt pour une dimension d’environ 400 mètres (avec une marge d’erreur de + ou - 100 mètres) compte tenu de l’angle apparent, 0°30’, et de la distance de 25 NM.
Il est à noter que le Centre régional de la navigation aérienne (CRNA) Nord, qui traite 3 000 mouvements par jour, n'a instruit que trois cas, dont celui du vol AF 3532, dans les sept dernières années.
Lorsque l’on lit le résumé de l'observation faîte dans le rapport COMETA, il n’est pas évident de réaliser que l’identification radar et l’observation visuelle de l’équipage ne sont pas superposées, et pourtant...
En effet, au moment de l’observation visuelle l’OVNI ÉTAIT SUR NOTRE GAUCHE, à environ 25 milles nautiques (47 km), alors que la TRACE RADAR va de droite à gauche, et passe à MOINS D’UN MILE NAUTIQUE (1,8 km) de l'avion…
Comment expliquer une telle anomalie ?...
Reprenons en détail les deux observations :
L'OBSERVATION VISUELLE peut se résumer de cette manière :
- Angle visuel apparent : celui de la Lune, ou 1/4 de l'épaisseur de l’index, ou encore 0°30’.
- Distance : 25 miles nautiques soit 46 à 47km.
- Forme de lentille
- Couleur rouge foncé
- Contours flous
- Objet incliné à 45 degré au moment de l’identification visuelle
- Durée de l'observation 1mn à 2mn
L'OBSERVATION RADAR peut quant à elle se résumer de la manière suivante :
- Durée écho : 50 secondes
- Cap 240 (Ouest)
- Vitesse estimée : 100 noeuds soit 185 km/h
Il semble bien que les horaires correspondent, et que l’identification radar et l’observation visuelle sont simultanées.
Mais l'analyse de l’enregistrement du radar montre une QUASI-COLLISION entre l'airbus A320 et l’écho radar, ce qui, si cela avait été le cas, aurait quand même été détecté par l’équipage, surtout à la vitesse de croisière d’un avion de ligne!...
En effet, la trace radar coupe la route de l’Airbus à moins d'un mile nautique, alors que pour nous cet OVNI est toujours resté immobile à une distance de 46 à 47 km à l'ouest de l’appareil…
Y aurait-il une totale incohérence entre l’observation visuelle et l’identification radar ?...
QUELLES EXPLICATIONS ?...
Sur une telle observation il est possible de développer un ensemble d’hypothèses qui sont toutes, plus ou moins, du domaine de la science-fiction, et celle-ci n’échappe pas à la règle !...
Mon sentiment est que cet OVNI était bien réel, et qu’il a généré délibérément un écho radar artificiel, très éloigné de sa position, par un système de contre-mesures électroniques, et ceci afin d’éliminer tout risque d’attaque par la Défense aérienne !...
C’est un moyen classique en guerre électronique, car il permet de détourner l’attention de l’adversaire vers un leurre… Dans cette observation si un missile avait été tiré vers cet OVNI, c’est l’Airbus A 320 qui aurait été vraisemblablement touché !...
[...]
http://nousnesommespasseuls.xooit.com/t7244-Observation-OVNI-du-28-janvier-1994-au-dessus-de-Paris.htm#84664
Jean-Charles DUBOC
Inscrit le: 02 Mai 2007
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Localisation: Fécamp
Posté le: 18/06/2007 15:15:34 Sujet du message: Observation OVNI du 28 janvier 1994, au-dessus de Paris...
J’ai eu la chance, en tant que commandant de bord d’un Airbus A 320, d’observer un OVNI, et je me dois de rédiger, enfin, un texte qui décrit d’une façon personnelle cette curieuse rencontre.
Tout d’abord, je dois souligner que j’accepte de témoigner uniquement parce que l’observation qui a été faite par moi-même (le commandant de bord), mais aussi par la copilote et le steward qui étaient dans le poste de pilotage, a été confirmée par une TRACE RADAR enregistrée au Centre d’Opérations de la Défense Aérienne (CODA).
Cette observation, largement connue dans le milieu ufologique, mais aussi, maintenant dans le public grâce à de nombreuses émissions de TV, a été réalisée lors du vol AF 3532, entre Nice et Londres, à bord d’un Airbus A 320, le 28 janvier 1994…
Nous étions en croisière à l'altitude de 11 700 m, et c’est à 13H14, à environ 20 km au Nord-Ouest de COULOMMIERS, par d'excellentes conditions météorologiques, que le steward a signalé un objet qui lui paraissait être un ballon météorologique.
Son observation a été aussitôt confirmée par la copilote, qui a identifié, elle aussi, cet objet comme un ballon météorologique, puis il est identifié par moi-même comme un avion en virage à 45° d'inclinaison, ce qui est tout à fait anormal à cette altitude…
Très rapidement cependant, nous avons constaté que ce que nous voyions ne ressemblait à rien de connu et que nous avions à faire à ce que l’on appelle communément un Objet Volant Non Identifié, un OVNI…
La visibilité illimitée, et la présence d'ALTOCUMULUS (sommet max entre 5000 m et 7000 m), m’ont permis d'estimer que cet OVNI était à l'altitude de 10 500 m, et à une distance d'environ 25 miles nautiques, soit 47 km.
Il est nécessaire de souligner qu’à bord d’un avion de ligne qui se déplace à plus de 200 mètres pas seconde il est très facile d’apprécier les DISTANCES avec un autre aéronef en raison de l’impression de défilement plus ou moins rapide, et inversement proportionnel à l’éloignement, avec l’aéronef en question.
Compte tenu de son DIAMÈTRE APPARENT, celui de la LUNE, soit ¼ de l’épaisseur de l’index bras tendu, ou encore 0° 30’, nous en avons déduit que l'engin observé était d’une taille gigantesque car un aéronef est impossible à distinguer à une telle distance.
Sa forme était celle d’une gigantesque lentille rouge sombre en évolution, les contours flous, et nous avons pu l’observer pendant plus d’une minute sur la gauche de l’appareil.
Le plus étonnant est que cet engin a DISPARU PROGRESSIVEMENT, en 10 ou 15 secondes, comme s'il s’était DÉMATÉRIALISÉ…
Conformément aux règles de l’Air, nous avons fait un COMPTE-RENDU au centre de contrôle de la Navigation aérienne de Reims qui nous a indiqué n'avoir aucune information sur une quelconque présence d’aéronef dans le voisinage.
En application de la procédure existante, le Centre de Reims a informé le Centre d'opérations de la défense aérienne (CODA) de Taverny de notre observation.
Au retour à l’aéroport Charles de Gaulle, le chef pilote A 320 m’a demandé de rédiger un rapport que je n’ai pas fait car les CARACTÉRISTIQUES de cet OVNI étaient totalement inconcevables avec mes connaissances scientifiques, et que, surtout, je n’avais jamais eu d’information sur ce type de phénomène dans ma carrière…
Ce n’est que trois années plus tard, en 1997, en lisant un article dans Paris-Match, que j’ai appris que le CODA avait enregistré, au même moment, une piste radar initiée par le centre de contrôle de Cinq-Mars-la-Pile et qui correspondait, en lieu et en heure, au phénomène observé…
J’ai alors décidé, compte tenu de l’existence de cette IDENTIFICATION RADAR, de rédiger un rapport à la Gendarmerie Nationale de l’aéroport de Charles de Gaulle qui a ensuite transmis au Sepra (CNES) ainsi qu’au groupe d’études des OVNI constitué au sein de l’association des anciens élèves de l’Institut des hautes études de la Défense nationale (IHEDN).
Lors d’une réunion à l’École militaire de ce groupe de travail (le COMETA) en mars 1997, j’ai eu la confirmation qu’une piste radar de l’OVNI avait bien été enregistrée pendant 50 secondes et avait croisé à moins de un mile nautique (1852 m) la trajectoire du vol AF 3532…
De plus, le phénomène avait disparu, au même instant, à la vue de l'équipage et des scopes radar.
Les investigations menées par le CODA ont permis d'exclure l'hypothèse du ballon météorologique et de connaître la distance précise de croisement des deux trajectoires radars.
La taille de l’OVNI a été évaluée, lors de cette réunion, à environ 250 mètres, mais ceci est une première estimation, et je penche, aujourd’hui, plutôt pour une dimension d’environ 400 mètres (avec une marge d’erreur de + ou - 100 mètres) compte tenu de l’angle apparent, 0°30’, et de la distance de 25 NM.
Il est à noter que le Centre régional de la navigation aérienne (CRNA) Nord, qui traite 3 000 mouvements par jour, n'a instruit que trois cas, dont celui du vol AF 3532, dans les sept dernières années.
Lorsque l’on lit le résumé de l'observation faîte dans le rapport COMETA, il n’est pas évident de réaliser que l’identification radar et l’observation visuelle de l’équipage ne sont pas superposées, et pourtant...
En effet, au moment de l’observation visuelle l’OVNI ÉTAIT SUR NOTRE GAUCHE, à environ 25 milles nautiques (47 km), alors que la TRACE RADAR va de droite à gauche, et passe à MOINS D’UN MILE NAUTIQUE (1,8 km) de l'avion…
Comment expliquer une telle anomalie ?...
Reprenons en détail les deux observations :
L'OBSERVATION VISUELLE peut se résumer de cette manière :
- Angle visuel apparent : celui de la Lune, ou 1/4 de l'épaisseur de l’index, ou encore 0°30’.
- Distance : 25 miles nautiques soit 46 à 47km.
- Forme de lentille
- Couleur rouge foncé
- Contours flous
- Objet incliné à 45 degré au moment de l’identification visuelle
- Durée de l'observation 1mn à 2mn
L'OBSERVATION RADAR peut quant à elle se résumer de la manière suivante :
- Durée écho : 50 secondes
- Cap 240 (Ouest)
- Vitesse estimée : 100 noeuds soit 185 km/h
Il semble bien que les horaires correspondent, et que l’identification radar et l’observation visuelle sont simultanées.
Mais l'analyse de l’enregistrement du radar montre une QUASI-COLLISION entre l'airbus A320 et l’écho radar, ce qui, si cela avait été le cas, aurait quand même été détecté par l’équipage, surtout à la vitesse de croisière d’un avion de ligne!...
En effet, la trace radar coupe la route de l’Airbus à moins d'un mile nautique, alors que pour nous cet OVNI est toujours resté immobile à une distance de 46 à 47 km à l'ouest de l’appareil…
Y aurait-il une totale incohérence entre l’observation visuelle et l’identification radar ?...
QUELLES EXPLICATIONS ?...
Sur une telle observation il est possible de développer un ensemble d’hypothèses qui sont toutes, plus ou moins, du domaine de la science-fiction, et celle-ci n’échappe pas à la règle !...
Mon sentiment est que cet OVNI était bien réel, et qu’il a généré délibérément un écho radar artificiel, très éloigné de sa position, par un système de contre-mesures électroniques, et ceci afin d’éliminer tout risque d’attaque par la Défense aérienne !...
C’est un moyen classique en guerre électronique, car il permet de détourner l’attention de l’adversaire vers un leurre… Dans cette observation si un missile avait été tiré vers cet OVNI, c’est l’Airbus A 320 qui aurait été vraisemblablement touché !...
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