Comment tirer des conclusions aussi définitives à partir d’un échantillon si réduit ? Lagrange ignore délibérément l’approche sceptique lorsqu’elle teste la pertinence de ses hypothèses avec la méthodologie expérimentale
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Une bonne partie de la thèse est de nature autobiographique.
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Ce n’est que rétroactivement qu’il revêtira l’habit du sociologue en situation d’observation participante.
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De fait, l’auteur ne s’embarrasse point d’études statistiques, d’enquêtes par entretiens ou de questionnaires afin d’étayer la compréhension sociologique de son objet d’étude. Il se focalise en pratique sur un unique sujet, Thierry Pinvidic.
C'est tout à fait parmi les nombreux points qui m'avaient surpris à la lecture (survol) de sa thèse qu'un membre d'ici avait eu la gentillesse de me trouver et de me photocopier.
Je m'attendais, pour une thèse qui a duré presque une dizaine d'années, à un "arsenal" méthodologique des Sciences Humaines, ou au moins quelques uns (entretiens, questionnaires, par exemple). Non, on fait de l'observation participante
a posteriori et sur un échantillon Thierry Pinvidic et deux ou trois autres !
L'HSP/TRC n'est aucunement
réellement abordée, contre-argumentée, mais on prétend la réfuter.
J'ai beaucoup aimé la liste de sophismes, paralogismes que vous avez relevés, sans compter les "affirmations" "propositions" qui sont incompatibles, contradictoires, "tout et son exact contraire", dans le texte.
Je sens que les échanges vont être "chauds" mardi et mercredi prochain puisque nous rencontrons monsieur Lagrange...