Introduction :
P Seray
En guise d’introduction, je ne vais pas me fouler et reprendre ce qu’écrit un certain Guy Tarade dans son ouvrage « OVNI – Terre, planète sous contrôle » que je viens d’acquérir pour moins d’un euro (c’est assez cher) sur un marché aux puces près de chez moi.
Nous avons vu il y a quelque temps la fabuleuse affaire dite de « Montauroux », et surprise, elle figure également dans cet ouvrage (page 50 et 51), nous n’y reviendrons donc pas (https://ufo-scepticisme.forumactif.com/meprises-f2/retour-sur-montauroux-var-t527.htm#8823).
Donc, pages suivantes (52 à 54), Guy Tarade nous rapporte que d’étranges traces furent trouvées en juin 1976 près de Colomars des Alpes et plus précisément à 300 mètres de la cabane du Vallon de Fouas à 1800 mètres d’altitude.
Il faut deux heures pour y parvenir en partant du hameau d’Aurent. L’endroit est une haute vallée où débouche le ravin de Costèle.
Donc en juin 1976, un berger découvre d’étranges traces sur ce chemin. La longueur totale est de 55 mètres (d’après Tarade) avec un sillon droit plus visible que celui de gauche. Les sillons mesurent 30 cm de largeur et sont espacés de 20 cm. La profondeur va de 3 à 5 cm.
Notons la présence de nombreuses éraflures sur des pierres se trouvant sur cette trace où à proximité immédiate ainsi qu’un peu de terre projetée ça et là.
Guy Tarade s’interroge sur cette curiosité et note dans son ouvrage (page 54) : « aucun indice ne peut donner une indication sur la nature et l’origine de l’engin responsable des traces ».
En fin de texte il ajoute : « L’engin a sans doute percuté un rocher quelques mètres avant le début des traces, puis, déséquilibré, à touché le sol au point d’impact n°1, pour rebondir sur des pierres qui sont encore présentes pour l’attester. Ensuite, toujours en perte d’équilibre, il a prit appui sur son patin droit avant d’aller s’immobiliser juste au pied d’un rocher important, 55 mètres plus loin…. »
Il conclut :
1/- L’engin n’a rien à voir avec les traces, dans ce cas l’engin, après s’être arrêté de justesse au pied du rocher, a pu redécoller verticalement.
2/- L’engin a pu faire marche arrière jusqu’à une surface suffisamment dégagée, pivoter sur son train d’atterrissage (d’où l’empreinte) et repartir dans les deux cas, après d’éventuelles réparations.
On ne rigole pas ! On étudie, on réfléchit, on compare (si possible).
Mais qu’est-ce t’y dont ces traces ? Nom de diou !
P Seray
En guise d’introduction, je ne vais pas me fouler et reprendre ce qu’écrit un certain Guy Tarade dans son ouvrage « OVNI – Terre, planète sous contrôle » que je viens d’acquérir pour moins d’un euro (c’est assez cher) sur un marché aux puces près de chez moi.
Nous avons vu il y a quelque temps la fabuleuse affaire dite de « Montauroux », et surprise, elle figure également dans cet ouvrage (page 50 et 51), nous n’y reviendrons donc pas (https://ufo-scepticisme.forumactif.com/meprises-f2/retour-sur-montauroux-var-t527.htm#8823).
Donc, pages suivantes (52 à 54), Guy Tarade nous rapporte que d’étranges traces furent trouvées en juin 1976 près de Colomars des Alpes et plus précisément à 300 mètres de la cabane du Vallon de Fouas à 1800 mètres d’altitude.
Il faut deux heures pour y parvenir en partant du hameau d’Aurent. L’endroit est une haute vallée où débouche le ravin de Costèle.
Donc en juin 1976, un berger découvre d’étranges traces sur ce chemin. La longueur totale est de 55 mètres (d’après Tarade) avec un sillon droit plus visible que celui de gauche. Les sillons mesurent 30 cm de largeur et sont espacés de 20 cm. La profondeur va de 3 à 5 cm.
Notons la présence de nombreuses éraflures sur des pierres se trouvant sur cette trace où à proximité immédiate ainsi qu’un peu de terre projetée ça et là.
Guy Tarade s’interroge sur cette curiosité et note dans son ouvrage (page 54) : « aucun indice ne peut donner une indication sur la nature et l’origine de l’engin responsable des traces ».
En fin de texte il ajoute : « L’engin a sans doute percuté un rocher quelques mètres avant le début des traces, puis, déséquilibré, à touché le sol au point d’impact n°1, pour rebondir sur des pierres qui sont encore présentes pour l’attester. Ensuite, toujours en perte d’équilibre, il a prit appui sur son patin droit avant d’aller s’immobiliser juste au pied d’un rocher important, 55 mètres plus loin…. »
Il conclut :
1/- L’engin n’a rien à voir avec les traces, dans ce cas l’engin, après s’être arrêté de justesse au pied du rocher, a pu redécoller verticalement.
2/- L’engin a pu faire marche arrière jusqu’à une surface suffisamment dégagée, pivoter sur son train d’atterrissage (d’où l’empreinte) et repartir dans les deux cas, après d’éventuelles réparations.
On ne rigole pas ! On étudie, on réfléchit, on compare (si possible).
Mais qu’est-ce t’y dont ces traces ? Nom de diou !