Selon : http://www.rr0.org/NicolaiRenato.html
Le 8 Janvier 1981 à 17 h, à Trans-en-Provence (à quelques kilomètres de Draguignan), Renato Nicolaï est en train de construire un petit abri en ciment.
J'étais en train de construire un abri en ciment pour une pompe à eau. Il était environ 17 h 00, le temps commençait à fraîchir. Mon attention a été attirée par un léger bruit, une sorte de petit sifflement. Je me suis retourné et j'ai vu en l'air un engin qui se trouvait à la hauteur d'un gros pin en bordure du terrain. Il descendait vers le sol, sans tourner sur lui-même. Je ne voyais pas de flammes ni en-dessous ni autour de l'engin. Pendant qu'il continuait à descendre, je m'en suis approché en me dirigeant vers le petit cabanon construit au-dessus de ma maison. Je me trouvais sur la restanque [plate-forme] à environ 1,20 m du toit.
De là, j'ai bien vu l'engin posé sur le sol. Aussitôt, il s'est levé. Arrivé au-dessus des arbres, il est parti assez rapidement en direction de la forêt, vers le nord-est.
Lorsqu'il s'est soulevé, j'ai vu en-desous 4 ouvertures par lesquelles ne s'échappaient ni flammes ni fumée. L' engin a soulevé un peu de poussière lorsqu'il a quitté le sol. Je me trouvais à ce moment-là à une trentaine de mètres du lieu d'atterrissage. je me suis ensuite approché de l'endroit et j'ai remarqué un cercle d'environ 2 m de diamètre. A certains endroits, sur la courbe du cercle existent des genres de traces de ripage.
Lorsque mon épouse est rentrée le soir, je lui ai raconté ce que j'avais vu. Elle a cru que je plaisantais. Elle a téléphoné à notre voisin qui est venu avec sa femme ; je leur ai également montré la trace du cercle et nous ont conseillé de prévenir la gendarmerie.
L'engin avait la forme de 2 assiettes renversées l'une contre l'autre. Il avait la couleur du plomb et possédait une nervure tout autour de sa circonférence. Sous l'appareil, j'ai vu, au moment où il se soulevait, 2 genres de pièces rondes qui pouvaient être des réacteurs ou des pieds. Il y avait aussi 2 autres cercles qui ressemblaient à des trappes. Les 2 réacteurs ou pieds dépassaient légèrement sur 20 cm en-dessous de l'appareil.
L'engin qui ressemblait à 2 poids en plomb retournés l'un sur l'autre, était tombé comme une pierre, avec un choc. Il mesure 1,80 m de haut pour 2,50 m de diamètre. 40 secondes plus tard il a redécollé brusquement en soulevant un peu de poussière. Rénato à juste le temps d'apercevoir une couronne métallique qui séparait les 2 poids et 4 ouvertures par en dessous.
Deux hasards se conjuguent alors. Après que la femme de Nicolaï ait prévenu une voisine, épouse d'un gendarme, ce dernier vient faire son enquête. Bien inspiré (mais malheureusement à une époque où la pluie est déjà tombée entre-temps), celui-ci a l'idée, non d'arracher des luzernes sur le bout de terrain où l'ovni, en se posant, a laissé des traces de ripage, mais d'emmener à la fois les végétaux et leur support terreux, dans une boite de chaussure. Ces échantillons arrivent au GEPAN, à Toulouse, puis, 11 jours plus tard, sur la paillasse d'un biologiste de l'INRA (Institut National de la Recherche Agronomique) le professeur Michel Bounias. Celui-ci a fait sa thèse sur les traumatismes subis par des végétaux soumis à une forte irradiation, en collaboration avec le CEA (Commissariat à l'énergie atomique). Il est donc particulièrement compétent pour analyser ces fines tiges de luzerne et découvre que leur équipement pigmentaire a été fortement modifié. Il demande alors une nouvelle prise d'échantillons, à des distances croissantes du point d'impact. Ces nouvelles analyses révèlent un phénomène de grande ampleur (sur 10 m de diamètre). Au centre, certains composants de la plante ont été détruits à 80 %. Puis, progressivement, ce traumatisme s'atténue, en suivant une loi en 1/r2, suggérant l'action d'un rayonnement. La courbe est extrêmement régulière (coefficient de corrélation considérable de 0,99). Aimé Michel et Pierre Guérin diront que l'ufologie scientifique est née ce jour là.
L'enquête aboutira à la Note technique N° 16 du GEPAN dégageant les constats suivants :
Aucune confusion possible (hélicoptère, ballon-sonde, obus...) ne permet d'expliquer ce qui s'est passé à Trans.
Un objet très lourd s'est effectivement posé. Il y a eu échauffement thermique du sol jusqu'au 600 °C et surtout, il a été constaté "un apport extérieur de différents matériaux, principalement du fer et des phosphates, avec des résidus de combustion".
L'analyse de végétaux prelevés par l'INRA révèle qu'il y a eu des "traumatismes biochimiques". On a en effet découvert en analysant les plantes qu'elles avaient subi d'importantes perturbations, notamment un vieillissement.
AnalysesPlus précisément, l'analyse des traces laissées sur le chemin et sur les plants de luzerne situés à proximité, effectuée par le professeur Michel Bounias, de l'INRA à la demande du GEPAN constera que :
Les concentrations des composants de l'appareil photosynthétique sont (...) très affaiblies au voisinage de la trace. [Par contre] le glucose y est fortement augmenté, tandis que les acides aminés libres sont (...), pour la plupart, anormalement peu concentrés.
L'ensemble des constatations du professeur Bounias l'amènent à conclure que :
Ce qui s'est passé, à Trans-en-Provence, a laissé des traces qui confirment les indications fournies par le témoin et tendent à orienter les conclusions dans le sens de l'objectivité du phénomène observé.
Il se refusera cependant toujours à se prononcer sur l'origine ou la nature de ce qui fut observé :
(...) quant à dire quelle est la nature exacte de l'"objet" décrit, ceci est une autre affaire, qui ne relève pas des mêmes orientations scientifiques.
Avons-nous un cas béton ? Et si....
Le 8 Janvier 1981 à 17 h, à Trans-en-Provence (à quelques kilomètres de Draguignan), Renato Nicolaï est en train de construire un petit abri en ciment.
J'étais en train de construire un abri en ciment pour une pompe à eau. Il était environ 17 h 00, le temps commençait à fraîchir. Mon attention a été attirée par un léger bruit, une sorte de petit sifflement. Je me suis retourné et j'ai vu en l'air un engin qui se trouvait à la hauteur d'un gros pin en bordure du terrain. Il descendait vers le sol, sans tourner sur lui-même. Je ne voyais pas de flammes ni en-dessous ni autour de l'engin. Pendant qu'il continuait à descendre, je m'en suis approché en me dirigeant vers le petit cabanon construit au-dessus de ma maison. Je me trouvais sur la restanque [plate-forme] à environ 1,20 m du toit.
De là, j'ai bien vu l'engin posé sur le sol. Aussitôt, il s'est levé. Arrivé au-dessus des arbres, il est parti assez rapidement en direction de la forêt, vers le nord-est.
Lorsqu'il s'est soulevé, j'ai vu en-desous 4 ouvertures par lesquelles ne s'échappaient ni flammes ni fumée. L' engin a soulevé un peu de poussière lorsqu'il a quitté le sol. Je me trouvais à ce moment-là à une trentaine de mètres du lieu d'atterrissage. je me suis ensuite approché de l'endroit et j'ai remarqué un cercle d'environ 2 m de diamètre. A certains endroits, sur la courbe du cercle existent des genres de traces de ripage.
Lorsque mon épouse est rentrée le soir, je lui ai raconté ce que j'avais vu. Elle a cru que je plaisantais. Elle a téléphoné à notre voisin qui est venu avec sa femme ; je leur ai également montré la trace du cercle et nous ont conseillé de prévenir la gendarmerie.
L'engin avait la forme de 2 assiettes renversées l'une contre l'autre. Il avait la couleur du plomb et possédait une nervure tout autour de sa circonférence. Sous l'appareil, j'ai vu, au moment où il se soulevait, 2 genres de pièces rondes qui pouvaient être des réacteurs ou des pieds. Il y avait aussi 2 autres cercles qui ressemblaient à des trappes. Les 2 réacteurs ou pieds dépassaient légèrement sur 20 cm en-dessous de l'appareil.
L'engin qui ressemblait à 2 poids en plomb retournés l'un sur l'autre, était tombé comme une pierre, avec un choc. Il mesure 1,80 m de haut pour 2,50 m de diamètre. 40 secondes plus tard il a redécollé brusquement en soulevant un peu de poussière. Rénato à juste le temps d'apercevoir une couronne métallique qui séparait les 2 poids et 4 ouvertures par en dessous.
Deux hasards se conjuguent alors. Après que la femme de Nicolaï ait prévenu une voisine, épouse d'un gendarme, ce dernier vient faire son enquête. Bien inspiré (mais malheureusement à une époque où la pluie est déjà tombée entre-temps), celui-ci a l'idée, non d'arracher des luzernes sur le bout de terrain où l'ovni, en se posant, a laissé des traces de ripage, mais d'emmener à la fois les végétaux et leur support terreux, dans une boite de chaussure. Ces échantillons arrivent au GEPAN, à Toulouse, puis, 11 jours plus tard, sur la paillasse d'un biologiste de l'INRA (Institut National de la Recherche Agronomique) le professeur Michel Bounias. Celui-ci a fait sa thèse sur les traumatismes subis par des végétaux soumis à une forte irradiation, en collaboration avec le CEA (Commissariat à l'énergie atomique). Il est donc particulièrement compétent pour analyser ces fines tiges de luzerne et découvre que leur équipement pigmentaire a été fortement modifié. Il demande alors une nouvelle prise d'échantillons, à des distances croissantes du point d'impact. Ces nouvelles analyses révèlent un phénomène de grande ampleur (sur 10 m de diamètre). Au centre, certains composants de la plante ont été détruits à 80 %. Puis, progressivement, ce traumatisme s'atténue, en suivant une loi en 1/r2, suggérant l'action d'un rayonnement. La courbe est extrêmement régulière (coefficient de corrélation considérable de 0,99). Aimé Michel et Pierre Guérin diront que l'ufologie scientifique est née ce jour là.
L'enquête aboutira à la Note technique N° 16 du GEPAN dégageant les constats suivants :
Aucune confusion possible (hélicoptère, ballon-sonde, obus...) ne permet d'expliquer ce qui s'est passé à Trans.
Un objet très lourd s'est effectivement posé. Il y a eu échauffement thermique du sol jusqu'au 600 °C et surtout, il a été constaté "un apport extérieur de différents matériaux, principalement du fer et des phosphates, avec des résidus de combustion".
L'analyse de végétaux prelevés par l'INRA révèle qu'il y a eu des "traumatismes biochimiques". On a en effet découvert en analysant les plantes qu'elles avaient subi d'importantes perturbations, notamment un vieillissement.
AnalysesPlus précisément, l'analyse des traces laissées sur le chemin et sur les plants de luzerne situés à proximité, effectuée par le professeur Michel Bounias, de l'INRA à la demande du GEPAN constera que :
Les concentrations des composants de l'appareil photosynthétique sont (...) très affaiblies au voisinage de la trace. [Par contre] le glucose y est fortement augmenté, tandis que les acides aminés libres sont (...), pour la plupart, anormalement peu concentrés.
L'ensemble des constatations du professeur Bounias l'amènent à conclure que :
Ce qui s'est passé, à Trans-en-Provence, a laissé des traces qui confirment les indications fournies par le témoin et tendent à orienter les conclusions dans le sens de l'objectivité du phénomène observé.
Il se refusera cependant toujours à se prononcer sur l'origine ou la nature de ce qui fut observé :
(...) quant à dire quelle est la nature exacte de l'"objet" décrit, ceci est une autre affaire, qui ne relève pas des mêmes orientations scientifiques.
Avons-nous un cas béton ? Et si....