Beaucoup de personnes que personnellement nous considérons clairement comme des tenants tentent de nier ce fait, affirmant en substance à qui veut les entendre qu’ils ne sont ni tenant ni sceptique. On doit comprendre par là qu’ils sont "au juste milieu", à égale distance des "extrémistes des deux bords", tout en planant grâce à leur connaissance du domaine au-dessus du vulgum pecus. L’intérêt d’une telle stratégie est évident : exonération de la charge de la preuve, image de modération et de sérieux, etc. Une position tout confort…
Nous allons donc définir précisément dans ce fil de discussion ce que nous entendons par "tenant" et par "sceptique" dans le cadre des parasciences (ces définitions étant valables en ufologie, mais aussi en parapsychologie, cryptozoologie, etc.) :
Tenant : pour expliquer tel ou tel phénomène en apparence mystérieux, un tenant défend a priori, implicitement ou explicitement, que l’extraordinaire inconnu/indéfini est plus probable que l’ordinaire connu/défini, quelque soit sa fréquence.
Sceptique : pour expliquer le même phénomène allégué, un sceptique soutient exactement la position inverse, jusqu’à preuve du contraire, preuve qui peut être apportée par des vérifications minutieuses et réfutations des pistes explicatives prosaïques, à envisager cas par cas.
Si l’on se base sur ces définitions, on voit tout de suite dans quelle catégorie on peut effectivement ranger des individus comme Jérôme Beau (l’auteur du site RR0), les parapsychologues de l’IMI et du GEIMI, comme par exemple Renaud Evrard et son "indécidabilité macroscopique", des forumeurs comme Zénon/Ouranos, etc.
Toute contribution visant à affiner ou/et à compléter ces définitions (voire à les réfuter le cas échéant) est bien sûr la bienvenue.
Nous allons donc définir précisément dans ce fil de discussion ce que nous entendons par "tenant" et par "sceptique" dans le cadre des parasciences (ces définitions étant valables en ufologie, mais aussi en parapsychologie, cryptozoologie, etc.) :
Tenant : pour expliquer tel ou tel phénomène en apparence mystérieux, un tenant défend a priori, implicitement ou explicitement, que l’extraordinaire inconnu/indéfini est plus probable que l’ordinaire connu/défini, quelque soit sa fréquence.
Sceptique : pour expliquer le même phénomène allégué, un sceptique soutient exactement la position inverse, jusqu’à preuve du contraire, preuve qui peut être apportée par des vérifications minutieuses et réfutations des pistes explicatives prosaïques, à envisager cas par cas.
Si l’on se base sur ces définitions, on voit tout de suite dans quelle catégorie on peut effectivement ranger des individus comme Jérôme Beau (l’auteur du site RR0), les parapsychologues de l’IMI et du GEIMI, comme par exemple Renaud Evrard et son "indécidabilité macroscopique", des forumeurs comme Zénon/Ouranos, etc.
Toute contribution visant à affiner ou/et à compléter ces définitions (voire à les réfuter le cas échéant) est bien sûr la bienvenue.
Dernière édition par DAR le 29/03/09, 04:55 pm, édité 1 fois