Re, et avant le réveillon ^^
Alors pour l'histoire des 6 parmi les 12
best unknowns (UFO) choisis par Battelle pour le SR n°14 dans le seconde partie de l'étude et devenus
knowns (IFO). L'explication
serait la suivante :
6 de ces cas ont été choisis
au départ de Blue Book par Battelle, càd pris directement à partir des données
brutes de l'USAF (à BB) - pas d'enquête donc - et puis donc considérés par Battelle comme parmi les 12 meilleurs cas UFO sur lesquels ils vont tenter de dresser un portrait-robot ou faire ressortir des "dénominateurs communs (ou non).
Or, à la fin de Blue Book, ces 6 là ne feront plus partie des N.I. (UFO) de Blue Book et de sa liste finale de NI... Ils seront/sont devenus IFO...
Qu'en est-il des autres cas UFO injectés dans les Chi2 ? Combien sont devenus IFO entre temps ou le sont ?
citation initiale :
Most famous are the 12 'good unknowns' chosen by the Battelle Institute as the best unexplained Air Force UFO cases during the period they analysed (1947-52). These were taken directly from Project Blue Book. Battelle did no re-investigation of the cases, they went purely by the analysis & data given by the USAF.
Now look at the list of unidentifieds given by the AF at the closure of Blue Book. 6 of the 12 best 'unknowns' are not even on this list. What happened to them?
They obviously became IFOs.
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Enfin, il faut voir aussi pour les caractéristiques choisies pour les chi2 Battelle (couleur, forme, durée, vitesse, etc) le nombre (significatif) de
données manquantes (c'est à dire que les témoins ou les cas ne donnent pas d'estimation pour ces caractéristiques) - tant pour les IFO que les UFO-. Parfois, cela monte à 30 % pour certaines de ces 6 caractéristiques (je laisse
brightness où l'on a... 68% de la donnée manquante pour les UFO et 65 % pour les IFO...) !
Quels auraient été les résultats si on avait eu ces paramètres estimés ?
Encore une raison (indiquée parmi tout un tas d'autres par Hendry) montrant que ce genre d'étude statistiques n'a que peu de sens et que les artefacts pouvant affecter les résultats sont vraiment très nombreux
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Pareil, mais c'est de l'ordre du détail (quoi que) : quand on regarde les caractéristiques estimées pour les IFO, parfois les témoins donnent une ou des caractéristiques qui ne sont pas vraiment propres au stimulus (càd dire erronée physiquement quant au réel stimulus). Quand bien même certains ou tous les UFO seraient fortéens (pour l'exemple, hein), ce qui serait estimé subirait le même genre de distorsion : si le X est en réalité fuselé quant à sa
forme, il pourrait être estimé triangulaire (à cause de ses 3 lumières, comme pour les méprises d'avion si je fais au plus court par commodité), c'est à dire que cette estimation ne nous apprendrait absolument rien en cas de véritable engin inconnu sur sa
forme.
Comme pour l'étude de monsieur Rospars (voir plus haut), c'est le témoin qui est l'objet d'étude en réalité, pas le
potentiel PAN
stricto sensu et où il est localisé "en réalité", physiquement.
C'est là où se trouve le témoin ou là où il estime qu'est le PAN qui est injecté en réalité dans les statistiques (une estimation, pas une mesure scientifique), pas là où serait localisé physiquement le potentiel PAN...
Aussi, injecter "localité" dans les études m’apparaît comme faisant peu sens et au moins pour cette raison (un témoin n'est pas un instrument de mesure pour situer où se trouve un stimulus physique dans le ciel et encore plus dans la nuit). Pareil pour la corrélation NUKE & UFO (voir mon blog) quant on injecte la variable "localité"... Si par exemple un objet en réalité "fortéen" (pour l'exemple, hein et me faire "l'avocat du diable") est de très forte magnitude, et en réalité en orbite à 350 km d'altitude et très loin en distance physiquement, et qu'un témoin l'observe alors que lui-même est proche d'un site nucléarisé, d'où Le "vrai" OVNI est corrélé avec le site physiquement ou comportementalement - en train de l'étudier ou que sais-je ? - avec le dit site ? Dans la tête des ufologues ???
Pareillement, grande prudence s'impose comme l'explique les statisticiens de Battelle (ou même Hendry et d'autres) : on injecte des estimations dans la machine, c'est à dire des données subjectives (où l'Homme est l'instrument de mesure(s)) et non des données scientifiques.
Au total, Stanton peut mettre le SRn°14 à la
Gilles