Jojo Lapin a écrit:
Quant au caractère très variables des observations faites par des scientifiques, il est étayé par les différents enregistrements (vidéo, photos, radar, VLF,...) et observations directes par les scientifiques.
Je relisais les diverses observations hier et encore aujourd'hui.
http://www.hessdalen.org/observations/
Il y a très peu d'observations de "scientifiques" comme vous l'affirmez
péremptoirement (vous évitez de donner des sources, mais par contre les smileys, cela y va...). Nous avons au contraire un
corpus assez classique d'observations de lumières dans la nuit, l'hiver, etc. Pas mal de méprises (avions, corps célestes, etc) également déjà expliquées/proposées, au sein de cette casuistique (ou même dans le lien précité pour nombre de cas).
Bref, comme j'écrivais plus haut, rien de très "nouveau", mais du classique (pour moi en tout cas), suggérant que le "phénomène" a tout d'un amalgame de diverses choses et
mésinterprétations de divers stimuli prosaïques
C'est la raison pour laquelle, et entre autres, je me suis permis de parler d'une dynamique psychosociale au sein d'un groupe restreint et d'évoquer cette piste (psychosociale donc). Rien d'autre comme vous cherchez à le caricaturer assez grossièrement, sans réel talent et très bêtement.
Leur verdict à l'heure actuelle est le suivant: Après 30 ans d'investigations, on ne comprend pas le phénomène.
C'est peut-être aussi parce qu'il y a très peu de spécialistes des sciences "molles" dans les équipes, pour mesurer/évaluer/constater certaines variables psychosociales. Par exemple, je ne connais aucune étude menée dans un cadre "ethnologique" pour "mesurer" si "le phénomène" fait/a fait partie du folklore local, ou pas.
En ce sens, si c'est le cas et suivant le poids de cette variable :
Ce poids du phénomène dans la culture ambiante (locale) conduirait/auto-illusionnerait les "locaux" à croire qu'il y a un phénomène dans les environs. Ainsi, il y a de nombreux objets prosaïques qui, notamment la nuit, vont prendre des caractéristiques inhabituelles pour ces observateurs baignés dans cette culture ambiante et locale. Et ils vont les rapporter à l'organisme local (Le projet Hessdalen local, sa permanence, etc.). Leurs observations vont faire la casuistique et s'ajouter à celle-ci. Le phénomène (psychosocial) se nourrit lui-même.
Par exemple, le fils Strand a vu aussi et fait partie de la casuistique.
Bref, on va voir ce qui va sortir dans le futur, mais, humblement, je suis assez pessimiste. Par contre, étant donné votre ton et votre caricature encore et toujours de l'approche "sceptique", ou encore ce traditionnel petit jeu, et les smileys zinutiles, je vous
répète que je ne désire pas poursuivre la discussion (avec vous). Inutile donc de m’haranguer encore. Merci.
Bonne continuation à vous.
Gilles F.