dédaleCitation:
Cinq bovidés furent repérés portant des taches d’un fin produit blanchâtre luisant sous le faisceau de la lumière infra rouge, ces tâches se trouvaient sur le côté droit du cou, de l’oreille et des pattes droites. Des échantillons furent prélevés et le Docteur Robert Schoenfeld (Laboratoire Schoenfeld Albuquerque) divulguât les résultats des premières analyses 12 décembre 1978 : La substance était comosé de Potasium et de Magnésium, la teneur en potasium était 70 fois plus élévé que dans un composé naturel, et la substance se dissolvait dans l’eau.
- produit qui se dissolve dans l'eau - potassium/magnésium : possible additif alimentaire contre les carences ou contaminations.
(le potassium en solution concentrée peut être utilisée contre la contamination par la radioactivité, traitement thyroide).
Citation:
Une lumière noire fut utilisée pour examiner la surface de la peau afin de localiser des éléments fluorescents. Ils ont découvert 10 à 15 points d’un demi-centimètre de large d’un matériau fluorescent sur la croupe et l’épaule du côté gauche, ce produit paraissait être seulement au bout des poils uniquement en petites quantités, pouvant être dispersé avec les doigts.
- moisissure bioluminescente que l'on peut trouver dans des hangards, des étables, des lieux mal nettoyés, ou même dans la nature : les herbivores adorent les odeurs de champignons, c'est à dire des endroits où la moisissure peut se développer.
Citation:
Le laboratoire de diagnostic vétérinaire de la Kansas State University situé à Manhattan (Kansas) à réaliser de nombreuses autopsies, fait la remarque suivante :
La peau est soigneusement examinée, visuellement d’abord, par section, puis au microscope, cela permet de mettre en évidence l’utilisation d’un instrument tranchant : En effet les dommages faits par des prédateurs sont totalement différents des dommages effectués par un instrument tranchant, car celui ci coupe aussi les poils le long de la plaie, tandis que les dents d’un prédateur les laissent entiers.
Mme Iona Hoeppner, professeur de science dans un établissement de Brigsdale, possède des licences en physique, en biologie et en chimie obtenu à l’Université de Colorado Sud, à Fresno et Memphis a analysé une coupe faite sur un des deux taureaux mutilés le 16 septembre 1980 dans un pâturage de la ferme de Roland Ball, situé au nord-Ouest de Brigsdale (Comté de Weld) dans le Colorado. Ses conclusions : La découpe faite par les mutilateurs n’est pas une coupe à proprement parler, ni une brûlure de laser. Aucune cellule n’était détruite, l’incision se trouvait entre les cellules qui étaient bien séparées les unes des autres. Pas une cellule n’était sanctionnée dans la découpe. Mme Hoeppner estima qu’aucun être humain n’était capable de réalisé une telle performance.
Problème : ce sont des infos précises mais peu détaillées.
Pour le cas des 2 taureaux de 1980, qui ne correspond ni à une découpe ni à une brûlure, et dans lesquel les lésions sont cellulaires; on peut penser à une nécrose cellulaire, tout comme dans le cas de certaines tumeurs. Vu les paramètres, je ne peux aller plus loin.
Dans le premier cas, si c'est un instrument tranchant, soit. Cela confirme ce que nous pensions : certaines affaires relèvent bien d'exactions dont les mobiles restent obscurs.
Citation:
Il faut noter qu’une bête retrouvée sur le dos ou sur un côté avec les pattes raides en l’air indiquent que la rigor mortis s’est produite en un autre lieu, en effet, une bête qui meurt de sa mort naturelle en plein pâturage tombe sur le côté et ses membres se raidissent au sol.
Oui, ou quelqu'un l'a pris et l'a tourné, post rigor mortis, dans sa nouvelle position : pas forcément besoin de changer de lieu.
Citation:
Le 14 juin 1978, dans le comté de Rio Arriba (NM) une vache de race Hereford âgée de 4 ans fut retrouvée mutilée. L’enquête sur place a montré que la bête avait été emmenée dans un autre endroit pour y être mutilé, puis ramenée sur place et lâchée d’une certaine hauteur. L’une des cornes était brisée et la seconde se trouvait enfoncée dans le sol. Etait présent lors de l’enquête : Le sergent G.L Valdez de la police d’état du Nouveau Mexique, Jim Byrd (Inspecteur sanitaire du bétail), Bob Johnson (Agent de la pêche & La chasse au NM) rapport No 11893 et supplément No 708706 et 708707 du 14 juin 1978 du Sgt G.l Valdez, Police d’état, Dulce, NM.
par exemple : Une bestiole malmenée lors d'un transport échappant aux règles de conformité. On se débarasse vite de l'animal devenu invendable pour ne pas avoir de problème avec les assurances, ou avec les autorités sanitaires.
Mais bon, il fut une époque où les autorités sanitaires étaient quelque peu corrompues. Une histoire de mystères , ça pouvait les arranger. L'élevage, l'agrochimicoalimentaire, etc, ce sont de grands cartels dont on ne peut que constater le côté politicomafieux. Si on ne prend pas en compte ce contexte, alors oui, certaines histoires relèveront d'extraterrestres puisque trop tordues pour être expliquées. Mais ces E.T là viennent bien de la terre et ils nous voient uniquement comme des c**sommateurs.
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Toute analyse est un debunking en puissance.